Et bien finalement, malgré ma résolution de ranger les skis, et surtout en raison de mon côté si influençable quand il s’agit de me persuader d’aller skier un couloir , cet « animal » de Swiss-rider a réussi à me convaincre de faire encore une rando par ces temps caniculaires.
Nous voilà donc partis, avec Christophe également, du côté des couloirs d’Arpette, histoire d’essayer d’en trouver un pas trop ravagé.
Après une bonne 1/2h de portage, on se retrouve à naviguer dans des restes avalancheux pas très « ragoûtants » mais qui permettront quand même de bien limiter le portage à la descente. On choisit vite le couloir de l’Aiguille d’Orny, car c’est celui qui reste le plus à l’ombre, même si ce n’est ni le plus long, ni le plus raide du vaste choix que l’on a sur ce versant nord qui domine le val d’Arpette. En plus, on constate que sa rive gauche est peut-être la zone du secteur la moins ravagée par les coulées.
Le regel est nul jusque très haut. Dans le couloir, seules la partie du haut et les goulottes lissées par les coulées offrent une portance suffisante à pieds.
Yves et Christophe dans la montée de la partie finale du couloir.
Au sommet, la vue sur le glacier d’Orny et le Plateau du Trient est enchanteresse et la douceur incite au « farniente ».
Mais par cette chaleur, il ne faut pas trop traîner quand même. Christophe est pressé de descendre !
Yves dans le haut, raide, étroit et en neige difficile (croûte cassante)
Puis en rive gauche en bonne ramollo
C’est toujours plutôt bon, malgré une surface irrégulière, car bien ramolli
La partie à l’ombre est un peu plus « accrocheuse »
Puis on retrouve une neige bien souple qui permet de lâcher de bonnes courbes
Il faut quand même se méfier de ne pas finir dans une goulotte…
De la « bonne profonde »… On dirait presque de la fraîche… hem, hem !
Puis c’est le gymkana infernal dans les résidus avalancheux. Mais ça a quand même son petit côté ludique !
Voilà, « That’s all folks » !
Nous voilà donc partis, avec Christophe également, du côté des couloirs d’Arpette, histoire d’essayer d’en trouver un pas trop ravagé.
Après une bonne 1/2h de portage, on se retrouve à naviguer dans des restes avalancheux pas très « ragoûtants » mais qui permettront quand même de bien limiter le portage à la descente. On choisit vite le couloir de l’Aiguille d’Orny, car c’est celui qui reste le plus à l’ombre, même si ce n’est ni le plus long, ni le plus raide du vaste choix que l’on a sur ce versant nord qui domine le val d’Arpette. En plus, on constate que sa rive gauche est peut-être la zone du secteur la moins ravagée par les coulées.
Le regel est nul jusque très haut. Dans le couloir, seules la partie du haut et les goulottes lissées par les coulées offrent une portance suffisante à pieds.
Yves et Christophe dans la montée de la partie finale du couloir.
Au sommet, la vue sur le glacier d’Orny et le Plateau du Trient est enchanteresse et la douceur incite au « farniente ».
Mais par cette chaleur, il ne faut pas trop traîner quand même. Christophe est pressé de descendre !
Yves dans le haut, raide, étroit et en neige difficile (croûte cassante)
Puis en rive gauche en bonne ramollo
C’est toujours plutôt bon, malgré une surface irrégulière, car bien ramolli
La partie à l’ombre est un peu plus « accrocheuse »
Puis on retrouve une neige bien souple qui permet de lâcher de bonnes courbes
Il faut quand même se méfier de ne pas finir dans une goulotte…
De la « bonne profonde »… On dirait presque de la fraîche… hem, hem !
Puis c’est le gymkana infernal dans les résidus avalancheux. Mais ça a quand même son petit côté ludique !
Voilà, « That’s all folks » !
inscrit le 16/09/04
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