Cela faisait quelque temps que je voulais essayer, ça y'est, je me suis en fin lançer dans l'alpinisme!
Pour ceci, j'avais choisi l'UCPA et le stage Grand Paradis.
Je met juste ici des photos de l'Italie, je mettrai après un compte rendu de la semaine sur le carnet.
Bref, jeudi matin, départ d'Argentières, la vallée de Chamonix est bouché, ça s'est bien rafraîchi, on aperçoit même un léger saupoudrage sous les nuages.
En Italie, il fait nettement plus beau.
Le chemin pour monter au refuge Vittorio Emmanuele est vraiment sympa,super décor, même si il y a un peu de monde.
Plutôt inhabituel à cette époque, la neige commence à tomber dès 2600m, fait pas très chaud la haut...
Le refuge est grand et la grande salle très sympa, de plus, les consos ne sont vraiment pas chères
Le temps s'améliore un peu dans la soirée, de bonne augure pour le lendemain.
Réveil 3h, départ à 4, ma.is il neige dès le départ.
On attaque à la frontale les rochers jusqu'à l'arrivée sur le glacier vers 3350m.
Ce n'est pas l'itinéraire habiuel, on prend le glacier beucoup plus tôt, mais il parait que le mois de jullet ne lui a vraiment pas fait du bien.
Aussitôt sur le glacier, c'est le blizzard, on ne voit rien, plus on monte plus le vent s'intensifie, il doit faire environ -10 degrés.
A 3900 m, notre guide dit stop, je n'ai pas trop de regrets vu les conditions.
quand on repasse sur la moraine, le saupoudrage s'est bien epaissit.
On aura quand même réussit à quasiment faire le Grand Paradis sans le voir une minute !
Les photos :
Le départ du chemin
Sur la montée :
L'arrivée au refuge, il neigeote
Nous y voila :
Vue sur le Ciarforon (3643m)
Coucher de soleil
Vu le temps, difficile de faire des photos de l'ascension, dommage, ça avait de l'allure toutes ces cordées montant dans le brouillard.
Au retour
Des séracs, assez dangereux par ailleurs. Au reour on ne voyait plus la trace, on a un peu navigué entre les crevasses, il y en a qui a passé deux foix une jambe à travers un pont de neige, flippant...
Après avoir déchaussé les crampons
La redescente, ici un peu dessus de 3000.
Mais au final, bilan de cette semaine largement positif; et à défaut d'être enthousiasmante, ce fut une ascension riche en enseignements, quand à l'habillement, la préparation, le mental dans des conditions un peu difficile...
Une seule envie, continuer, recommencer, ce n'est que le début de l'histoire...
Pour ceci, j'avais choisi l'UCPA et le stage Grand Paradis.
Je met juste ici des photos de l'Italie, je mettrai après un compte rendu de la semaine sur le carnet.
Bref, jeudi matin, départ d'Argentières, la vallée de Chamonix est bouché, ça s'est bien rafraîchi, on aperçoit même un léger saupoudrage sous les nuages.
En Italie, il fait nettement plus beau.
Le chemin pour monter au refuge Vittorio Emmanuele est vraiment sympa,super décor, même si il y a un peu de monde.
Plutôt inhabituel à cette époque, la neige commence à tomber dès 2600m, fait pas très chaud la haut...
Le refuge est grand et la grande salle très sympa, de plus, les consos ne sont vraiment pas chères
Le temps s'améliore un peu dans la soirée, de bonne augure pour le lendemain.
Réveil 3h, départ à 4, ma.is il neige dès le départ.
On attaque à la frontale les rochers jusqu'à l'arrivée sur le glacier vers 3350m.
Ce n'est pas l'itinéraire habiuel, on prend le glacier beucoup plus tôt, mais il parait que le mois de jullet ne lui a vraiment pas fait du bien.
Aussitôt sur le glacier, c'est le blizzard, on ne voit rien, plus on monte plus le vent s'intensifie, il doit faire environ -10 degrés.
A 3900 m, notre guide dit stop, je n'ai pas trop de regrets vu les conditions.
quand on repasse sur la moraine, le saupoudrage s'est bien epaissit.
On aura quand même réussit à quasiment faire le Grand Paradis sans le voir une minute !
Les photos :
Le départ du chemin
Sur la montée :
L'arrivée au refuge, il neigeote
Nous y voila :
Vue sur le Ciarforon (3643m)
Coucher de soleil
Vu le temps, difficile de faire des photos de l'ascension, dommage, ça avait de l'allure toutes ces cordées montant dans le brouillard.
Au retour
Des séracs, assez dangereux par ailleurs. Au reour on ne voyait plus la trace, on a un peu navigué entre les crevasses, il y en a qui a passé deux foix une jambe à travers un pont de neige, flippant...
Après avoir déchaussé les crampons
La redescente, ici un peu dessus de 3000.
Mais au final, bilan de cette semaine largement positif; et à défaut d'être enthousiasmante, ce fut une ascension riche en enseignements, quand à l'habillement, la préparation, le mental dans des conditions un peu difficile...
Une seule envie, continuer, recommencer, ce n'est que le début de l'histoire...
inscrit le 27/10/04
3320 messages