Demande à n'importe quel prof ce qu'il pense d'être photographié en plein cours par un de ses élèves. On voit de plus en plus apparaître, dans cette soi-disant société "libérée", des tabous proches de ceux des primitifs les plus arriérés : en prenant ma photo, tu me voles mon âme pour la mettre dans ton espèce de boîte.
La seule réaction saine, c'est de demander au photographe de te transmettre son image, de lui faire promettre de ne point en mésuser, voire pour les plus détachés des basses superstitions, de prendre la pose pour le laisser en faire d'autres (un jour, j'ai même insisté pour qu'on me prenne avec un entonnoir sur la tête).
Tout le reste (y compris le "droit à l'image" dont on nous rebat les oreilles) n'est que bassesse, cupidité, autoflagellation et superstition.
La seule réaction saine, c'est de demander au photographe de te transmettre son image, de lui faire promettre de ne point en mésuser, voire pour les plus détachés des basses superstitions, de prendre la pose pour le laisser en faire d'autres (un jour, j'ai même insisté pour qu'on me prenne avec un entonnoir sur la tête).
Tout le reste (y compris le "droit à l'image" dont on nous rebat les oreilles) n'est que bassesse, cupidité, autoflagellation et superstition.
inscrit le 17/10/05
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