Enfin, la réponse à la question que vous vous êtes toujours posée...
Enfin, la réponse à la question que vous vous êtes toujours posée...
Oula!! tres grand malheur!! si jamais le sujet aux flatulosités subit un dégazage violent à l'interieur du dit caisson (volume tres tres réduit) il risque étranglement, étouffement, et sous la panique pourrait meme ouvrir le caisson et risque de graves accidents vasculaires et ou cérébraux.....donc méfiance tout de meme...
Toutefois, je me permets d'émettre quelques réserves quant à l'utilisation du caisson hyperbare.
En effet, le caisson hyperbare a pour effet de relever le seuil de saturation en gaz du sang. Ainsi, lors d'une recpompression, les gaz toxiques d'origine tartifletto-digestive, qui auraient dû normalement être expulsés de l'organisme par voies naturelles, vont se retrouver dissous dans le sang qui deviendra alors sursaturé. Il est donc à craindre que le taux limite de résistance de l'organisme face aux toxines flatuleuses ne soit dépassé.
En conséquence, l'utilisateur dudit caisson, en voulant se prémunir de la colique alpine, court le risque d'être victime d'une narcose proutozoaire, avec les effets que l'on connaît (état second, délire, ...).
Cependant, il manque l'aspect social de la problématique de la flatulence en montagne.
Il serait intéressant de poursuivre l'étude jusqu'en dans les cabines des remontées mécaniques, téléphériques, télécabines et autres Oeufs: alors que dehors souffle l'air pur et frais, dedans, un indélicat, sournois, nous fait partager son désordre intérieur...réactions, attitudes des autres passagers...regards interrogateurs, reniflements dégoutés cherchant à identifier le coupable..
pourrez tu nous éclairer sur cet as pet du problème ???
inscrit le 02/12/02
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