RIP1
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inscrit le 09/09/03
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D'après les infos qui circulent dans le milieu autorisé, la FFS déposerait le bilan (enfin, c'est une asociation loi 1901 je crois). Donc pas de mendataire du tribunal de commerce mais apparement un Monsieur "j'assaini les comptes" serait nommé par le Ministère de la jeunesse et des sports? Qui peut me confirmer ou m'infirmer cette info? Ca serait dommage vu les résultats des Français cette saison.

PS. Je change de JOB dans trois mois. Fini DRH dans la grande distribution, vive le DRH chez un fabricant (un grand) de ski!

Cedski
Cedski
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inscrit le 10/11/01
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Fini la BMW, tu vas passer chez Saab ???
RIP1
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inscrit le 09/09/03
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Nan, j'ai négocier un skidoo comme voiture de fonction.

mais maintenant que tu m'y fais penser, une volvo 4x4, ca le fait pour monter au ski.....

RIP1
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inscrit le 09/09/03
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excuse: "négocié"
TonyC
TonyC

inscrit le 23/12/03
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Matos : 3 avis
Un skidoo ? Quel "grand" fabricant de ski peut bien offrir ça ? Tu aurais été chez Salomon, tu l'aurais peut-être eu la Saab ...
rider d'huez
rider d'huez

inscrit le 17/04/03
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La rumeur sur la FFS ne m'etonerait pas, vu les probleme dans la fédé les dernieres saisons...

Bon et puis ta nouvelle boite, c'est laquelle...
Du coup tu pourrait faire des packs skipass pas cher non ????

RIP1
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inscrit le 09/09/03
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remettons les choses au point. Je ne suis que DRH, vais travailler dans le groupe au trois bandes, branche égyptienne (Le roi Salomon pour le jeu de mot) mais pas directement dans la branche ski. Enfin c'est un début. Je n'ai pas de voiture de fonction, un plus petit salaire, et les saab, je crois que c'est juste un sponsor qui est associé avec Salomon. Il ne file pas de voiture de fonction Saab à leurs cadres sup et leurs représentants je crois qu'ils ont des 807 ou des espaces.

Et honnêtement, la voiture, je m'en fou un peu. A la place, je pourrais avoir des skis différents chaques jours de la saison. (enfin, j'aurais p'têtre du le faire mettre dans mon contrat!)

Et qui peut me donner l'infos pour la FFS?

En ce qui concerne les packs,

Cedski
Cedski
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inscrit le 10/11/01
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oulàh je plaisantais c'est tout, mais n'empeche que j'ai visé juste...

Mais t'aurais peut etre pas du dire la marque, heureusement qu'il y a plus le mail sur skipass, m'enfin remarque maintenant tu risque d'avoir plein d'amis sur skipass, je sais pas pourquoi....

TonyC
TonyC

inscrit le 23/12/03
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Matos : 3 avis
eh ben on se croiserait têt ds les couloirs mon cher Skiator... Tu rentres quand ? (histoire que j'essaie de venir à ton pot d'arrivée...)
Damsss
Damsss

inscrit le 01/12/02
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Accablée de dettes, la Fédération française de ski se réorganise

LE MONDE | 03.01.04 | 13h23 • MIS A JOUR LE 03.01.04 | 17h56

Au lendemain de l'étape française de la Coupe du monde féminine, dimanche 4 et lundi 5 janvier, à Megève (Haute-Savoie), l'instance dirigeante du ski français tente de profiter de sa période de redressement judiciaire pour apurer ses comptes.
Vitesse le dimanche, slalom le lundi. Et tribunal le mardi. C'est à cette singulière épreuve combinée qu'est convié le ski français en ces premiers jours de l'année. Après l'annulation du Critérium de la première neige, qui devait se disputer à la mi-décembre à Val-d'Isère (Savoie), la tenue de l'étape de Megève, dimanche 4 et lundi 5 janvier, est plutôt une parenthèse bienvenue dans les tribulations de la Fédération française de ski (FFS).

Il a neigé, et bien neigé depuis plusieurs jours sur les massifs. Avec Carole Montillet en super-G dimanche et Laure Pequegnot lundi dans le slalom, l'équipe de France abat ses meilleures cartes. Et, après avoir été privé d'écran depuis plusieurs années, le ski a de nouveau droit de cité à la télévision, grâce à France 3 Rhône-Alpes-Auvergne et France 3 Méditerranée, qui devaient retransmettre en direct toutes les épreuves de l'étape française de la Coupe du monde féminine.

Pour un peu, et si l'on excepte aussi la blessure du géantiste Frédéric Covili, qui le prive de la suite de la saison, ce serait presque le bulletin météo parfait dans le ciel du ski français.

Sauf qu'il reste la dernière épreuve. Mardi 6 janvier, c'est de nouveau devant le tribunal que l'avenir de la FFS va se jouer. Rien de bien grave cette fois : à la requête du procureur de la République, il s'agira de confondre FFS et Publiski, une filiale à 100 % de la fédération, qui était chargée du droit d'image de la FFS. Publiski, qui n'avait jusqu'alors pas fait l'objet d'un redressement, a été placé en décembre 2003 sous le même régime que la fédération. "Avec une seule entité, on gagnera en clarté", estime ainsi Me Robert Meynet, l'administrateur judiciaire installé aux commandes de la FFS depuis mai dernier.

Mardi 27 janvier, c'est à un exercice autrement plus important que devrait se livrer l'administrateur devant le tribunal d'Annecy : présenter les comptes. Afin de faire correspondre l'exercice comptable avec le rythme du budget ministériel, défini par année civile, l'exercice social de la Fédération a en effet été modifié, quitte à ne plus être le reflet du rythme saisonnier de l'activité.

BILAN EXCÉDENTAIRE

Du coup, c'est un bilan sur huit mois (mai à décembre) qui sera examiné par le tribunal. S'il est conforme au budget adopté par l'assemblée générale de juillet, ce bilan devrait être légèrement excédentaire (100 000 euros environ). "Nous respectons parfaitement ce qui a été défini, et nous savons parfaitement où nous allons", assure Robert Meynet. Pour parvenir à un tel résultat, rien n'a été laissé au hasard. Le parc automobile, les forfaits de téléphone mobile : tout a été remis à plat et les contrats éventuellement renégociés. "Avec pour souci permanent, précise l'administrateur, de faire en sorte que les économies n'aient aucun impact sur les résultats sportifs." Mais c'est surtout la prise en charge par le Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et le Syndicat national des moniteurs de ski (SNMS) des dépenses des bénévoles, des frais de l'encadrement et des honoraires des entraîneurs qui a permis de rétablir si spectaculairement l'équilibre.

"Des solutions à court terme", objectent déjà certains observateurs. "Le 27 janvier, répond l'administrateur, la signature du partenariat avec le SNMS sera concrétisée." Le puissant syndicat des moniteurs de ski s'engagera à verser 600 000 euros par an à la fédération, pendant trois ans. Une somme destinée à financer directement les entraîneurs.

Si l'on ajoute à cela qu'après dix années de chute libre les ventes de "cartes neige" - des licences-assurances délivrées par les clubs - ont connu une hausse de 2,83 % la saison passée, rapportant au passage quelque 2 450 000 euros net à la fédération, le tribunal devrait donc prolonger la procédure de redressement. L'inverse signifierait d'ailleurs la fin pure et simple de la FFS. Un prochain rendez-vous sera alors fixé, trois mois plus tard. La durée légale d'un redressement judiciaire est de vingt mois. "Nous aurons probablement besoin de tout ce laps de temps, pronostique Robert Meynet. Il y a encore tellement de choses à faire."

De fait, il faudra bien songer aussi, un jour, à épurer le passif, une somme pour l'instant évaluée entre 3,5 et plus de 5 millions d'euros. Pour cela, la vocation du grand bâtiment qui domine le lac d'Annecy, siège et propriété de la fédération, "surdimensionné", selon l'administrateur, pourrait par exemple être revue, et le bâtiment "mieux exploité", les 50 salariés du ski n'occupant pas tous les étages.

"Il est en tout cas paradoxal que la Fédération demeure un îlot de pauvreté dans un univers de riches", conclut Robert Meynet. Soit. Mais il n'empêche qu'il faudra également s'atteler à une autre mission pour remettre durablement la FFS dans les bonnes traces. Une tâche plus politique qu'économique cette fois. Quid, par exemple, des élus aujourd'hui mis sur la touche ? Selon la volonté ministérielle et la nouvelle loi sur les statuts des fédérations sportives, fabricants de matériels, syndicats des remontées mécaniques et moniteurs devraient désormais avoir accès aux instances dirigeantes.

Le conseil sportif aujourd'hui mis sur pied, et qui regroupe justement les différents partenaires de la montagne, préfigure peut-être ce à quoi pourrait ressembler la Fédération française de ski dans les années à venir.

Olivier Zilbertin

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