On est d'accord pour tout ce qui est subjectif, point de vue du spectateur par rapport à l'acteur....
Sans oublier la mise en scène bien sûr ( cf Houdini roi de l'évasion dans des conditions extrêmes), le but premier de la mise en scène est de faire travailler l'imagination du spectateur pour que le spectacle et/ou la performance soit magnifiés (principe du trophée de chasse) (et finalement c'est tant mieux...mais là je m'engage).
Cette intro pour ne pas oublier la mise en scène des photos ou films car étrangement ces sports se font rarement en public.
Contre exemple de taille la: la competion de BASE jump depuis le quasi-sommet des tours Petronas (les+ hautes du monde) à Kualalumpur (Malaisie), mais a mon avis dans ce cas l'accessibilité à tous aux batiment et donc l'apréciation directe du risque, la courte distance spectateur/competiteur, et l'imaginaire provoqué par la présence d'architecture créé tout un environnement favorable à la mise en scène. Ajoutez à cela 1- le fantasme/taboo du suicide avec ce passage à l'acte du basejumper qui saute dans le vide 2- le 11 septembre et alors pas besoin de réalisateur un camescope suffit.
J'avais hésité avant de mettre "commandos" comme exemple de preparation mentale à la gestion du STRESS (notre nouveau mot clef). Rq: le stress physique se gère via la préparation et l'entrainement. Mais le stres mental, le blocage, cet instant ou le cervaux hésite entre fuir ou combattre, c'est là que nait la peur (hésiter en condition extrême c'est prendre un risque). D'ou ma remarque sur les commandos qui sont soumis à toutes sorte d'entrainement pour pouvoir continuer d'attaquer quel que soit le risque. Mais la stratégie du commandos dispârait avec certains sports xtreme, certe elle s'applique au basejump ou la vitesse d'execution relève plus du reflex que de la prise de decision, mais en ski extr^me par ex le skieur peut avoir à décider de fuir à tout instant, ce qui necessite une grande pratique afin d'avoir une parfaite connaissance de ses capacité et donc de ses limites et un mental actif et pret à effectuer un choix en dehors du reflex. (note pour les commandos : c'est vrai les gars vous aussi vous avez à faire des choix et à mon humble avis le véritable sport extême c'est le votre;().
Il y a au moin une autre technique de preparation mental que celle des commandos (mise en situations dangereuses variées et répétées) : la meditation (preparer son cerveau ne pas presuposer de la réalité). J'explique : plutôt que d'être préparé et entrainé à agir dans toutes sorte de situations on peut se préparer à ne pas réagir. C'est l'anticipation du danger et l'hesitation qui en resulte qui crée le risque (voir plus bas). (pour ex les indiens qui travaille sur les gratte-ciels sont reputé ne pas avoir le vertige mais, en fait ils n'on en fait pas peur ; ils ne connaisse pas la peur, c'est ce qui les a qualifiés d'office pour ces travaux)
POur en revenir au sujet initial il faudrai voir ce quel'on appele engouement pour le sport extrême : pseudo pratique (à fond... mais sur les pistes) pratique réèl (il ils sont peu nobreux, ou passifs spectateur ?
NOTE bien : Le spectateur est attiré par l'extraordinaire plus que par l'extrême.
Attention l'humain fonctionne beaucoup par empathie et on apprend beaucoup dans son propre corps uniquement en voyant les autres agir : ceci cré le frisson quant on voit une image extême et nouvelle (on ne réagit plus en voyant les images du 9/1,1 alors qu'une mort en directe nouvelle a plus d'impact).
Le sportif de l'extreme se doit donc en plus de la performance de réaliser quelque chose d'unique !
inscrit le 05/11/03
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