Expérience la plus flipante...

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A l'alpe du grand serre la saison derniere yavait eu un bon vent du sud la veille ca avait bien gelé la nuit. La noir du perolier était fermé on y vas quand meme et puis on s'apercoit que c'est gelé a mort, une vrai patinoire bien lisse si tu tombe tu glisse tu t'arrete plus mes carres qu'était pas trop affutées les ski tenaient plus,jmet les batons dessous pour tenir.Sur le coup tu flippe vraiment. Mais on a reussi a attraper un pannaux au dessus pour faire demi tour.

Pas un gros flip mais un truc etonnant qui montre que qui que l'on soit on est à l'abris de rien.

Brouillard à couper au couteau je suis entrain de remettre qqs piquets le longs d'une piste à Corrençon. Ca fait deux hivers que j'y bosse le moins que l'on puisse dire c'est que je connais le coin comme ma poche.
Je ski avec mon paquets de jalons sur l'epaule en pensant à autre chose. Je m'arrette regarde autour de moi que du blanc, perdu complet. Je pose mon chargement et reflechi, j'etais incapable de dire ou j'etais à 500 metres pres.
C'est grace au bruit du teleski que je suis revenu sur le bon chemin.
Imaginé la une du DL operation de secours à Corrençon pour retrouver un pisteur perdu dans la station, j'aurais pas eu l'air con .

Canaï -> Exactement pareil!!! C'était quand pour toi? T'aurais pas suivi des traces? Nous on a trouvé une peuf énorme dans ce coin, mais au bout d'un certain temps, j'ai dit stop. Je savais qu'il y avait quelques barres en-dessous, et j'avais compris qu'on avait loupé l'épingle... Et on a brassé pour remonter...

Ah ah le coup de rater l'epingle a Areches... Une epingle dans la Sarrazine non j'imagine???

Tout juste!

pour en revenir a la premiere histoir ce qui me trouble c'est que vous ayez déchaussés , parce que sans les skis c'est vraiment chaud de tenir dans une pente enfin perso sans skis je suis pas tres rassuré !

grand classique le ratage des épingles de la Sarazine, surtout cet année. Quand au coin où on se retrouve pas bien en forêt pour terminer sur une falaise, je pense voir où c'est, on s'est fait piéger avec le frangin cet hiver alors que je connais ce coin comme ma poche (comme quoi).

Ma frayeur, Alpe D'huez, c'est au bord d'une petite falaise, un micro-couloir me permet de la traverser tout droit à fond pour terminer sur de grandes courbes en contre-bas.

Je jete mes spatules dans la pente, et à ce moment, un rocher en bloque une et c'est toute la pente mélangée de glace et de rocher qui se fait la tête en bas. Arrivé dans la poudreuse non sans quelques chocs sourds, je compte tous mes os, et ouf, rien de cassé. La dose d'adrénaline qui envahit le corps au moment de la chute est impressionnante.

Ca date un peu mais je m'en rapelle encore ...

Parti tout droit au petit matin dans une verte à l'Alpe d'Huez ... sauf que c'était au printemps, pas de damage, et plein de bosses gelées.

A 80 km dans cette environnement hostile j'ai vite compris le problème ... les chaussures qui sortaient des fixs ... à la limite de déchausser sur les chocs, impossible de planter un virage !

Une minute et demi de sueurs froides ... bien souple sur les jambes ... et à fond la caisse ! Brrr

Alpinisme :
Une petite chute dans une crevasse, et je me relève, j'ai rien.....cool.
Ah, merde, mon crampon gauche m'a entaillé la cheville et pire, à déchiré mon beau pantalon eider tout neuf. (2 sorties) => 5 points de suture

Ski :

Une nuit presque passée en montagne, aux Saisies, oui, oui, aux Saisies! le 1er janvier 2000. Petit hors piste qui part dans la mauvaise pente, on se retrouve dans un versant qui bascule sur une autre vallée, on patauge dans 1m de fraiche, impossible de remonter. On se retrouve dans une forêt si dense que bonjour le ski, et bonjour le style, les cuisses brûlent, objectif: perdre du dénivellé en évitant de s'engager dans une mauvaise pente. on récupère un sentier d'été et une trace de ski de rando à la montée qu'on suit pour se retrouver à 18H dans un petit village quasi innocupée. On se fou dans une petit bar avec un coca et on fait sécher nos pompes à côté de la cheminée en attendant nos chéries qui ont du faire le tour de la vallée pour revenir nous chercher. (sans compter la pose des chaînes sur une ax pour le retour, et une petite sortie de route à l'aller par nos chéries dépanner par un paysan avec son tracteur)
Comme on avait essayer d'appeler le service des pistes pour demander notre chemin avec le portable, et que ça passait mal, la standardiste à cru qu'on demandait de l'aide.
Résultat: une équipe de pisteurs à notre poursuite, dont un qui se casse la gueule dans la forêt et qui perd son ski (on le saura le lendemain).
Bref, branle bas de combat, on croise la gendarmerie sur le chemin du retour qui prend nos identités, et pire, on croise un gros pick up sécurité des pistes vers 19h qui ramène tous les pisteurs à la station.... La honte quoi!

Un pote qui saute une barre en surf à mach 2, à la sortie de la banquette de la mort à tignes. Le pire : conseiller par un autre pote guidos qui lui dit: vas y, après la seconde barre, tu peux lacher les chevaux!

Un autre pote en monoski (il y a 15 ans au moins) qui disparait sous nos yeux dans un un petit couloir vars le Col de la Madeleine. Sa chance, 10 mètres de chute entre deux falaise, dans un petit couloir pleins d'arrosses qui le retienne.

canyoning :

Philippe glisse sur la corde, dans un beau rappel arrosé de 35 mètres. Descente corde enkitée, méthode spéléo. mais la lanière du sac vient se prendre dabns le huit et le voila suspendu plein gaz pendant au moins 10 minutes. Dans la Bendola, canyon du 06, qui se fait en deux jours, et surtout ou le secours aurait demandé au moins 48 heures. Il coupe la corde du sac et continue sa descente! Ouf

Ma copine qui se fait prendre "en cravatte" sur un rocher lors de la descente du canyon du Diable avec au moins 30m3 secondes. Trois personnes pour la sortir!

La descente du trou de fer à la réunion: pas de problème particulier, si ce n'est une énorme montée d'adrénaline, quand tu pendules à 200 m du sol, avec un grondement sourd à côté de la chute d'eau pour essayer de grapiner le relais qui permet de continuer la descente. Puis, le lendeman, dans bras de caverne, une progression horizontale de plusieurs km, avec un débit infernal, des étroitures de 50 cm et pire, des affluents qui gonflent continuellement le niveau d'eau. L'anecdote qui tue : alors qu'on a mis 12 heures pour descendre les quasi 700 m de dénivellé qui mènent au fond du trou de fer, qu'on émèrge de sous la bache dans un bruit de folie pour aller faire ses besoins naturels au fond d'un trou d'où se jettent de multiples cascades de 300 mètres, voila une nouvelles version d'apocalysne now. 3 hélicos d'hélilagon descendent en vol stationnaire au fond du trou de fer pour les touristes fortunées. Merde, pas moyen de la faire justement cette ....

Et encore plein d'autres frayeurs.... Faut reconnaitre un truc, j'ai souvent peur en montagne....

Skiator ton histoire de sangle coincée dans le descendeur me rappel une anecdote.

A l'epoque j'avais les cheveux long, tres long. Descente dans un puit en speleo. Apres un premier fractionnement cette p.... de tignasse s'emmele dans le descendeur.
Il y a que dans les films que le mec à toujours son couteau sur lui pour couper la corde, ou les cheveux en l'ocurence.
J'ai donc ete obligé de sortir pedales et jumards, j'avais l'air con mais c'est l'avantage de la speleo il fait noir et les copains en bas n'on rien vu.

en ski il y a deux ans a bonneval sur arc
il fait tres froid donc c'est gelé
après quelques rayons de soleil on se jette dans une noire (sous le telesiège ) ou la neige semble s'etre radoucie...
quelques bosses ,je tombe....et là je glisse,je glisse en prenant de la vitesse de la vitesse, sur le ventre tête en bas...impossible de freiner....
je crie a mon copain qui est devant et que je double je vois passer un poteau deux poteaux.....
et je m'arrete dans un petit creux entre deux gros blocs...
a quelques metres prets...
très grosse frayeur!maintenant les noires c'est quand la neige est supère bonne sinon je flippe trop en regardant jusque où je pourrais glisser...

Y a quelques années. Journee de neige aux deux alpes. Pistes toute la journée (surf). A 16h (premiere erreure, l'heure), une eclaircie nous devoile la langue du glacier, immaculée, 40cm de peuf.
On se depeche de montée au dessus. (on a juste les dernieres pioches!) Pas de bol, au dessus, c encore brouillard. Ca fait rien, on connait bien, ca fait une semaine qu'on fait cette langue. On passe sous les cordes et hopla, le delire .. c pas 40 de poudre mais bien 80 a 1m ... Puis d'un coup, on voit clair ..p'tain , c quoi toutes ces seracs devant nous a 300m ..... on s'est enfiler sur un autre versant, coupé trop tot sous les cordes, ds ce fichu brouillard. On s'arrete. Mon pote, experimenté en montagne, me rassure ("il me dit, au pire on creuse un trou et on reste la!". On se laisse une bonne distance de securite et on remonte sur nos traces .. il part devant car il est bcp plus leger que moi, passe 30s a chaque pas pour tasser doucement mais surement la neige. La pente ...je dirai du 35° .. je flippe a fond ..je ne le vois plus, il a disparu derriere la pente ..je suis doucement ces traces en retassant un peu ... 1h30 plus tard, on arrive a la corde .. sauvé. Des pisteurs arrivent a notre secours, il fait nuit! Un autre pote avait ete plus prudent avait remarqué bcp plus tot l'erreur et etait alle cherche des secours.
Le pisteur nous dis .. vous avez de la chance, les crevasses sur lesquelles vous etes passées sont "ENORMES" ... il est 19h30 qd on rentre au chalet. J'ai rien dormi pendant 3 nuits ...et j'en ai encore des sueurs foirdes. Conclusion: je ne pars plus jamais en hors pistes sans rien voir, meme si je connais la station comme ma poche !!

Quelques années plus tot, mon pote, qui avait donner l'alerte (d'ou peut etre sa prudence), mene un groupe, en tete dans le brouillard. Il connait par coeur le coin ... pas de bol, il devie, saute une monstreuse barre ..a le tps de dire stop en tombant .. tombe ds les sapins, se petent la cheville, le poignet + le crane.

Skiator : comme d'hab tout en simplicité

Je commence mon histoire dramatique moi aussi :

Il y a 2 ou 3 ans avec 2 potes, tous les 3 équipés APS, on fait une sortie avec 3 autres copains un peu moins fort. Valmorel, il a neiger 30 cm 3 jours avant, gros gavage, risque 3 que nous interprétons après qq descentes comme très limité, grandes pentes vierge, etc, la journée de rêve.
Dans l'après midi, on repère un couloir tous les 6, d'un bon niveau (45° assez exposé sur environ 100m de déniv). on décide de n'y aller que les 3 meilleurs, équipés et connaissant assez bien la montagne. Un des autre est charger de filmer en se postant en bas du couloir. Remonté à pied, chaussage, on décide d'y allez soft, chacun notre tour, car il a neigé avec un peu de vent (=> accumulations dans couloir). Un pote traverse donc le couloir pour tester et purger si necessaire et la petit craaaac caractéristique, sa trace découpe une plaque qui entraine la totalité du couloir, heureusement mon pote a prolongé sa traversé assez loin et est à l'abri. Des metres cubes dévalent la face à vive allures, sautant barres rocheuses avec aisance. Et la un souvenir me traverse l'esprit : un pote (caché derrière les barres sauté par la coulé ) est au milieu de la trajectoire. Je descend d'un tout droit la face qui borde le couloir à des vitesses que je n'est jamais atteintes, m'imaginant les pires scénarios catastrophes (aller raconter aux parents la mort de leurs fils, la responsabilité dans l'accident, ...) Arrivé en bas, je vois le spéctacle de désolation laissé par l'avalanche sur encore une centaine de mètre de plat et Kova (le pote en question) qui se tiens debout, à un mètre de l'ébouli neigeux. Je le rejoins, ces jambes tremblent encore, il n'arrive dans un premier temps pas a parler puis raconte après le grand bruit, la cascade de neige qui a sauté la barre, la peur de sa vie, le fleuve qui lui passe devant sans qu'il n'est le temps de bouger, etc ...
Il n'est plus jamais revenu skier avec nous

Morale, la montagne se partage, il ne faut jamais oublier qu'il y a d'autres skieurs, surtout si c'est des potes, que le risque 3 reste un risque 3, que jouer les johny deceasar c'est cool mais le risque s'aplique aussi aux cameramems ...

Sinon autre frayeur : le coma de plusieurs minutes d'un pote sur un big air (la chute en vidéo la dessus ), pote qui ne savait plus se qu'il faisait, ou il était, avec qui pendant le reste de la journée, ...

Carambole tu es mauvaise langue. Je trouve que Skiator c'est bien amelioré. Il n'a pas parlé du caucase, ni de l'UNESCO, ni de science po, ni de son passage au PGHM, ni de son diplome de mono, ni de sa medaille d'or à Calguari, etc...

Mais peut-etre que c'est moi qui m'haitu à sa prose

Déjà vécu differentes expériences "flipantes" mais étonnament le résultat le plus grave c'est déroulé en s'amusant...
Le plus flipant pour moi n'a pas été la situation ou il y eu séquelles

Pas encore de séquelles ... Je touche du bois.
Bon rétablissement à ton potes Oak

Moi c'était il y a une vingtaine d'années...

Je réalisais l'ascension hivernale en solitaire et en T-shirt de l'Everest, sans oxigène. Un exploit à l'époque, même si ensuite c'est devenu banal.

Tout à coup je me suis retrouvé entouré d'une douzaine de yétis (au moins) armés de piolets ensanglantés. Ils m'ont fait signe de leur passer le Nikon que j'avais autour du cou, et que m'avait prêté Paris-Match.

J'ai poussé un cri sauvage pour les effrayer, et ça a déclenché une énorme avalanche d'au moins un kilomètre de large sur cent mètres de haut, qui est descendue depuis le glacier Sud. Elle les a tous emportés, alors que je n'étais qu'à quelques mètres à peine.

J'ai pu continuer en direction du sommet, mais je dois dire qu'un instant j'ai eu un peu peur.

Comme je suis modeste et que je ne vante jamais, la presse de l'époque n'en a pas trop parlé ...

Ha ben je vois que je ne suis pas le seul à s'être fait berner par les épingles de la Sarazine . J'ai pas eu de falaises moi ça descendait pas trop mal, au bout d'un moment en faisant le tour de la montagne j'ai trouvé des traces qui descendaient alors je les ai suivit. Ces gars devaient bien connaître le coin car ils sont tombés à 2m près, d'un pont, peut être l'unique pont entre Arêches et le Barrage.
Par contre je suis tombé né à né avec un tétras lyre mâle, c'était inoubliable.

le coup des cheveux, c'est bien connu SD. C'est le premier truc qu'on dit aux filles en canyon et en spéléo: attachez vous les cheveux.

Voila ce que c'est de vouloir faire le rebelle avec tes cheveux longs.... Fuck the society!

Je te donnerai une adresse pour acheter des chouchous si tu veux

Y m'est arrivé un truc assez original du temps ou je louais encore mes skis, c'était bien sur sur des salomon avec fix salomon également.

C'était à La Plagne, et oui, on avait décidé avec mon frère de se faire un des jolis couloirs qui descend entre l'itinéraire normal du Couloir Rocès et la télécab de Bellecote, heureusement on a pris le plus large qui n'est quand même pas bien large... Je fais sans problème les virages les plus complexes: ceux du départ très etroit. Et au virage suivant, je ne savais absolument pas pourquoi, je commence a partir en arrière, je controle plus rien, je fini par me rtrouvé sur le dos la tête an aval. Avec la pente qu'il y a impossible de se rattraper. C'est vraiment flippant de voir les parois rocheuses défiler de chaque coté. On a l'impression d'être lancé super vite. Heureusement le couloir s'élargissait un peu et c'est un vrai miracle qu'il n'y ait pas eu de rocher au milieu ou que je n'ai pas dévié...

En bas je comprend toujours rien à ce qui c'est passé. Je n'ai même pas déchaussé, je regarde mes skis et vois que le talon de l'une des fixs est carrément parti!! Une vendeuse nous dira ensuite insouciament: "oui salomon à tendance à faire des vis trop courtes"

C'était quand même assez exceptionnel. J'ai encore des fix salomon aujourd'hui et aucun problème. Faudra que je pense à le refaire ce couloir pour voir

Skiator disait:

Je te donnerai une adresse pour acheter des chouchous si tu veux

Carrefour?

Les cheveux coincés dans le descendeur c'est peut-etre bien connus maintenant mais à l'epoque j'en utilisait pas en escalade et le machin que l'on m'avait mis entre les mains c'etait bien la premiere fois que j'en voyais un.

Les filles elles ne faisaient pas de speleo et elles avaient les cheveux court

Quand au chouchou vu ma coupe actuelle ca va etre dur le coté retour de Katmandou dans le commerce ca a du mal à passer

Lol, c'est vrai que filles et montagnes riment pas très régulièrement avec sexys

sauf pour l'alpiniste espagnole qui a fait l'Everest, elle est manequin en plus

max31 (15 avril 2005 12 h 53) disait:

pour en revenir a la premiere histoir ce qui me trouble c'est que vous ayez déchaussés , parce que sans les skis c'est vraiment chaud de tenir dans une pente enfin perso sans skis je suis pas tres rassuré !

Je comprends mais là, on voulais faire demi tour...pour essayer de ratrapper les épingles de la Sarazine ! donc surtout pour moi en avec mon snowboard, difficile de remonter !

Je vois que certains se sont fait avoir aussi sur ce secteur !
Ce sujet aura au moins servi à avertir les suivants...

bin alors moi , mon experience la plus flippante, c'était il y a quelques années maintenant...
on était parti rider avec un pote une journée toute blanches, et jme souviens, quand on est revenu, la superette etait fermée...pas moyen d'acheter dla gniole...

ppfffouuu... flippant ca comme experience le saint. rien que d'imaginer j'en ai des frissons. Ca m'est arrivé plus d'une fois aussi, maintenant j'fais gaffe autant qu'il se peut. Ca peut être dangereux ces histoires. J'ai un pote, haddock il s'appelle, qui en a eu de belles, de frayeurs de ce genre.

tu met'....
jcrois qui en a même qui sont résté sobres plus d'une nuit complete....

non??!!

eh ben.. y'en a qui reviennent de loin quand même..

Moi j'en connais un qui a eu chaud, c'est le mec que j'ai trouvé par hasard (un hasard extreme, mais c'est trop long à raconter) sur la piste noire la breche à l'alpe d'huez: le mec ne savait pas skier, il s'était perdu et voulait descendre à pied... il a glissé (heureusement que la soupe ca glisse peu) il a commencé à roulé vers un rocher. j'ai rattrappé ses ski, et puis je me suis jeté sur lui pour le retenir (il a failli m'emporter avec lui... heureusement que je n'ai pas déchaussé, car mes fixs sont merdiques, c'est des vieille salomon bas de gamme qui n'aiment pas la violence...) je l'ai finalement arreté (en ayant eu très chaud!) je lui ai dit de rachausser, j'ai tenté de lui apprendre à skier... il n'a pas réussi, il est retombé 3 ou 4 fois, j'ai remis ça, et heureusement on est arrivé en bas. comme il y a un gros replat, j'ai pris de l'élan et je l'ai laissé là, je ne lui ai pas laissé le temps de me remercier, d'ailleur je ne sais meme pas si il s'est rendu compte que si il était passé par dessu le rocher il ne serai certainement plus là.

mais il avait du pinard dans son sac??

[quote=Le-saint]mais il avait du pinard dans son sac??
Mais faut pas secouer le vin, tu devrais savoir ça mon ange...

mon cher skiator, si les filles qui font de la spéléologie (mais ça marche aussi pour le canyoning, j' ai testé!)ont des cheveux longs, c 'est pour vous plaire, à vous, mes chers hommes!!parce que sportive ne veux pas dire masculine!!(mais je reconnais que le chouchou est quand l 'une des meilleures invention du siècle!)

Je ne veux pas paraître macho et misogyne avec mes remarques mais il est vrai qu'en station ou en montagne en générale, notamment en hiver, les tenues portées par les filles (comme par les hommes d'ailleurs) ne sont pas particulièrement sexy et ne mettent pas spécialement en valeur les courbes gracieuses (ou disgracieuses) de la gente féminine.

Bon, après relecture, je parais macho!

Et en enlevant les 3 couches, on peut avoir des surprises!

Ensuite, les cheveux courts peuvent être aussi sexy chez une femme. Personnelement, ma femme s'est fait rasé la tête, ça évite tout risque de coincement dans le huit lors de rappel arrosé, ce qui peut être mortel.

Mais surtout, le danger mortel à écarter, le danger qui pourrait courir à la perte du couple, à la perte de l'emploi, voire à la fin du monde, c'est le temps passé le matin dans la salle de bain à se sécher les cheveux! Avec le crane rasé, plus de problèmes!

Skiator disait "...ça évite tout risque de coincement dans le huit lors de rappel arrosé"

comme quoi en rapel comme en voiture la sobrieté est de rigueur est-ce qu'on peut avoir les cheveux long quand on ne boit pas?

Honte sur moi pour les fautes.

Oui, un rappel arrosé, ça va, 3 bonjour les dégats

Vous en connaissez beaucoup qui font de la spéléo ou de l'escalade bourrés ?

Pour ce qui est du fantasme sur la tenue de sport, revoir Rackel Welsh sortant de l'eau en tenue de plongée dans le célèbre James Bond ...

Trublion disait:

revoir Rackel Welsh sortant de l'eau en tenue de plongée dans le célèbre James Bond

Pfff.. c'était Bo Derek !

Autre accident comique à qui c'est arrivé à un oncle. Descente bien sympa de la mer de glace. La neige est bonne et un copain en avance sur le groupe se tente une sortie des traces.

Brouf, classique, dans la crevasse. Rien de cassé, on jète la corde et on le remonte. Quand ils apercoivent le copain en question sortie de crevasse, ben c'était quelqun d'autre ???!!???. C'était un gars qui lui était 10 m derrière son groupe 5 minutes avant leur passage et qui ne s'étaient apercu de rien. Bref, bonne rigolade et rien de cassé et juste quelques frayeurs.

BTC (18 avril 2005 19 h 10) disait:

Autre accident comique à qui c'est arrivé à un oncle. Descente bien sympa de la mer de glace. La neige est bonne et un copain en avance sur le groupe se tente une sortie des traces.

Brouf, classique, dans la crevasse. Rien de cassé, on jète la corde et on le remonte. Quand ils apercoivent le copain en question sortie de crevasse, ben c'était quelqun d'autre ???!!???. C'était un gars qui lui était 10 m derrière son groupe 5 minutes avant leur passage et qui ne s'étaient apercu de rien. Bref, bonne rigolade et rien de cassé et juste quelques frayeurs.

Et le copain? c'est le groupe suivant qui l'a récupéré?

et le copain il avait du pinard dans son sac??

Impardonnable ...

Il me semble que c'est Rackel Welsh non? Dans James Bond contre Docteur No

Mettez vous d'accord ... moi je l'ai juste rencontré sur la plage ... et on a pas beaucoup parlé ...

Tout faux !
C'était Ursulla Andress !
http://www.thejbw.com/girls/dno/girlhoney.gif

Le pinard, surement que ça n'a pas du s'arrêter comme ça cette histoire de fou.