Je sais pas si c'est la fatigue, la lassitude de jouer au démineur toute la journée ou la saison tant attendue qui se rapproche mais depuis se matin, je regarde la pluie tomber, dans ce triste décors de plaine et mon esprit rêveur divague, voyant de gros flocons, vous savez ceux qui sont en trois dimensions, pas les petits grains, remplacer les gouttes, le décors insonnorisé et immaculé des sommets remplacer ces usines, le bruit du ski qui crisse en déflorant un champ vierge remplacer le ronrronnement stressant des ventilo de ce putain de PC. Je repense à des journées d'attente comme ce fameux vendredi du mondial de l'année dernière ou la récompense du lendemain vaut bien cette journée perdu (que seul le chocolat chartreuse de skieur mag et les dixaines de bières du bar permettèrent de passer). Tout ces souvenir ce bouscule à mon maigre cerveau englué par la vision de ce 17 pouce qui est mon seul compagnon...
Merde le patron arrive fini le rêve.
Merde le patron arrive fini le rêve.
inscrit le 01/12/03
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