La bonne nouvelle de la journée:
Amina Lawhai a été acquitée et échappe à la lapidation au Nigeria.
Pas jusqu'à faire le choix, mais que qq'un de trés proche est à le faire?
Moi, oui, deux fois déjà!
Dont une fois cet été, pour un bébé!
Les médecins, en accord avec les parents ont décidé de ne pas faire d'acharnement thérapeutique et de la laisser mourir, "sous controle médical".
Considères tu cela comme une erreur, moi non. Les médecins ont jugés que la vie de cette enfant ne serait pas "normale" et qu'il était préférable d'abréger ces souffrances.
Le fait que Marie Humbert est été amené à faire ce geste vient à mon avis d'une erreur de jugement et d'un manque de compassion de la part des médecins.
Pourquoi s'acharner à maintenir en vie un jeune homme tétraplégique, aveugle et muet. Quel espoir a t il de s'en sortir, d'évoluer. Il ne ressentira que de la douleur et de la rage de ne pas être mort le jour de son accident.
C'est mon avis qui, je crois est partagé par beaucoup de gens.
personnes peut te repprocher de pas lire le monde tous les jours, mais à 16/17 ans il semblerais normal que tu t'interesse un tant soit peu à l'actualité...
fr.news.yahoo.com, tu sorvoles les titres, et ceux qui t'interesses, tu les lis... ça te prend 5mn par jour et au moins t'es au courant des infos...
"Vincent Humbert est décédé à 10h45 (08h45 GMT) dans l'unité de réanimation de l'établissement. Sa famille a été aussitôt avertie", a annoncé la direction du centre hélio-marin de Berck-sur-Mer (Pas-de-Calais).
"L'équipe médicale s'est réunie ce matin. Compte tenu du tableau clinique, de l'évolution et des souhaits qu'avait exprimé à diverses reprises Vincent, elle a décidé de limiter les thérapeutiques actives. L'équipe médicale qui l'a accompagné pendant trois ans a pris cette décision collective et difficile en toute indépendance", a souligné le centre hospitalier dans un communiqué.
"Ils nous ont juste dit qu'il était décédé. Ils ne nous ont pas dit quand ni comment (...) On a ce qu'on voulait, lui a ce qu'il voulait et c'est le principal", a déclaré sur LCI Laurent, le frère de Vincent. "Je suis heureux que mon frère soit enfin libéré, c'est un soulagement énorme", a-t-il ajouté.
"C'est un soulagement, même si cela peut paraître paradoxal quand on évoque une mort, mais c'est vraiment un soulagement, pour lui d'abord, pour sa mère Marie et pour toute la famille", a déclaré pour sa part l'avocat de la mère de Vincent, Me Hugues Vigier.
"C'est un soulagement, c'est terrible mais cela veut tout dire, cela témoigne de la force de la demande de Vincent et de sa famille. La décision des médecins est collective, elle est aussi courageuse. Ils ont décidé d'abréger ses souffrances et celles de ses proches. L'équipe l'a sauvé puis a décidé en son âme et conscience. C'est bien", a précisé Me Vigier.
Marie Humbert avait tenté d'abréger les souffrances de son fils, âgé de 22 ans, en introduisant des barbituriques dans sa perfusion mercredi soir.
Elle a été interpellée puis remise en liberté et admise à sa demande dans un centre de psycho-thérapie. Aucune charge n'a été pour l'instant retenue contre elle.
Le procureur de la République de Boulogne-sur-Mer, Gérard Lesigne, a indiqué vendredi matin que "l'enquête va maintenant se poursuivre". "Je vais ordonner une autopsie et des examens médicaux", a-t-il précisé.
Le ministre de la Justice, Dominique Perben, a demandé au parquet de Boulogne-sur-Mer de "faire preuve de la plus grande humanité dans l'application de la loi" concernant la mère de Vincent Humbert.
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Finalement, ca c'est bien dénoué, pour Vincent et sa famille.
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Arretez de diaboliser les médecins, si ils ne décident pas d'euthanasier un patient ce n'est pas par manque de coeur. Des cas difficiles leur posent beaucoup de questions, à eux et au reste de l'équipe soignante.
Est ce qu'il voudrait vraimment mourir, quelle qualité de vie lui reste t'il, est ce qu'il y a un espoir de guérison, qui est la personne qui pratiquera l'euthanasie passive ou active. Ensuite il y a encore les problèmes juridiques auquels s'expose la personne qui pratique l'euthanasie.
Tout ca fait que c'est très difficile de passer à l'acte.
En Suisse on à une association qui s'appelle "exit" et qui permet aux personnes de mourir dans la dignité.
Un des problèmes et que je crois qu'il faut être membre pour pouvoir en bénéficier, et il me semble qu'il y a un délais entre l'inscription et l'euthanasie, d'ou certains problèmes.
Cette association fourni à la personne le cocktail létal, et en Suisse cette pratique est tolérée pour autant que certaines conditions soient remplies :
Dans les grandes lignes il faut qu'il n'y aie aucun espoir de guérison, qu'elle soit en pleine possession de ses facultés intellectuelles et qu'elle puisse prendre elle même le cocktail.
Dans ce cas peut être que ca aurait été possible.
Si ca vous intéresse allez faire un tour sur le site d'exit qui est très intéressant et qui couvre bien le sujet.
Exit Suisse : http://www.exit-geneve.ch/
Exit France : http://perso.club-internet.fr/admd/
inscrit le 16/09/03
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