ronron (16 janv. 2015) disait:
Ouai mais ak, il a +20% sur son salaire!
pour l'instant... c'est que le début...
Ouatitm (16 janv. 2015) disait:
ronron (16 janv. 2015) disait:
Ouai mais ak, il a +20% sur son salaire!
Si c'est le prix à payer pour que "ces indispensables parasites de l'économie au service des citoyens" crèvent la gueule ouverte, je signe de suite.
ak (16 janv. 2015) disait:
ronron tu devrais envoyer un mp à la bns pour leur dire ce que tu en pense
ak (16 janv. 2015) disait:
pourquoi? t'as fais un stage dans une banque durant ton cursus? t'aurais des idées pour redresser l'économie suisse?
ak (16 janv. 2015) disait:
en gros tu dis un peu tout et n'importe quoi...et son contraire...
ronron (16 janv. 2015) disait:
ak (16 janv. 2015) disait:
en gros tu dis un peu tout et n'importe quoi...et son contraire...
Non pas du tout.
C'est mauvais pour les citoyens suisses, mais je m'en fou un peu, c'est leur problème, pas le mien.
Pure88 (16 janv. 2015) disait:
ak (16 janv. 2015) disait:
Pure88 (16 janv. 2015) disait:
ak (16 janv. 2015) disait:
imaginons une seconde qu'ils les vendent d'un coup
Pour acheter du CHF ?
par exemple...
Faut vraiment être un suisse.....
ak (16 janv. 2015) disait:
Pure88 (16 janv. 2015) disait:
ak (16 janv. 2015) disait:
Pure88 (16 janv. 2015) disait:
ak (16 janv. 2015) disait:
imaginons une seconde qu'ils les vendent d'un coup
Pour acheter du CHF ?
par exemple...
Faut vraiment être un suisse.....
ben en vendant 500 milliards d'euros d'un coup pour acheter des chf:
1) tu fais chuter l'euro
2) tu fais monter le chf
3) avec tes chf qui valent bcp tu achètes de l'euro qui vaut rien
4) t'as vachement plus que 500 milliard d'euros
cqfd
ak disait:Et si que les détenteurs (étrangers, je veux dire, non-suisses) qu'ils ne voudraient pas vendre leurs CHF ?en vendant 500 milliards d'euros d'un coup pour acheter des chf
Ouatitm (26 janv. 2015) disait:
Mais cela commence :
Ce que certains redoutaient est en train d’arriver. Le syndicat Unia a dénoncé jeudi la volonté d’une entreprise de Perly de baisser dès le mois prochain les salaires de ses employés frontaliers. Dans une circulaire adressée à son personnel, le lendemain de l’annonce de l’abandon du taux plancher par la Banque nationale suisse, la direction de Fournier Volailles Importation se justifie.
Ce texte, que le syndicat a transmis aux médias, explique que la hausse du franc va accroître la concurrence des produits importés, «devenus subitement moins chers», que le tourisme d’achat va encore se développer et que l’entreprise va de ce fait subir une énorme pression de ses clients suisses pour baisser ses prix. Sa survie serait menacée. La direction, qui n’était pas joignable hier, écrit: «Votre pouvoir d’achat comme frontalier s’est accru massivement sans aucune contre-prestation.»
L’employeur se réserve ainsi le droit de réduire les salaires au prorata de la différence entre le taux plancher du franc et le nouveau taux. Il assure que la baisse sera entièrement répercutée sur le prix de vente des produits. Et d’inviter ses salariés frontaliers à ne prendre «aucune décision hâtive d’investissement ou de blocage de vos cours de change». Il est toutefois précisé que les salaires correspondant au minimum prévu par la convention collective de la boucherie suisse ne seront pas touchés.
Unia dénonce une «tentative scandaleuse de reporter les conséquences du renchérissement du franc entièrement sur le dos de travailleurs dont le niveau salarial est déjà extrêmement bas».
Selon le syndicat, qui cite une décision d’un tribunal bâlois sur un cas similaire en 2012, cette discrimination salariale entre frontaliers et Suisses est illégale. Le personnel se réunira mardi pour décider d’éventuelles mesures contre cette décision. (TDG)
Tribune de Genève : 23.01.2015
Extraordinaire, non ?
Ouatitm (26 janv. 2015) disait:
Mais cela commence :
Ce que certains redoutaient est en train d’arriver. Le syndicat Unia a dénoncé jeudi la volonté d’une entreprise de Perly de baisser dès le mois prochain les salaires de ses employés frontaliers. Dans une circulaire adressée à son personnel, le lendemain de l’annonce de l’abandon du taux plancher par la Banque nationale suisse, la direction de Fournier Volailles Importation se justifie.
Ce texte, que le syndicat a transmis aux médias, explique que la hausse du franc va accroître la concurrence des produits importés, «devenus subitement moins chers», que le tourisme d’achat va encore se développer et que l’entreprise va de ce fait subir une énorme pression de ses clients suisses pour baisser ses prix. Sa survie serait menacée. La direction, qui n’était pas joignable hier, écrit: «Votre pouvoir d’achat comme frontalier s’est accru massivement sans aucune contre-prestation.»
L’employeur se réserve ainsi le droit de réduire les salaires au prorata de la différence entre le taux plancher du franc et le nouveau taux. Il assure que la baisse sera entièrement répercutée sur le prix de vente des produits. Et d’inviter ses salariés frontaliers à ne prendre «aucune décision hâtive d’investissement ou de blocage de vos cours de change». Il est toutefois précisé que les salaires correspondant au minimum prévu par la convention collective de la boucherie suisse ne seront pas touchés.
Unia dénonce une «tentative scandaleuse de reporter les conséquences du renchérissement du franc entièrement sur le dos de travailleurs dont le niveau salarial est déjà extrêmement bas».
Selon le syndicat, qui cite une décision d’un tribunal bâlois sur un cas similaire en 2012, cette discrimination salariale entre frontaliers et Suisses est illégale. Le personnel se réunira mardi pour décider d’éventuelles mesures contre cette décision. (TDG)
Tribune de Genève : 23.01.2015
Extraordinaire, non ?
ak (27 janv. 2015) disait:
Ouatitm (26 janv. 2015) disait:
Mais cela commence :
Ce que certains redoutaient est en train d’arriver. Le syndicat Unia a dénoncé jeudi la volonté d’une entreprise de Perly de baisser dès le mois prochain les salaires de ses employés frontaliers. Dans une circulaire adressée à son personnel, le lendemain de l’annonce de l’abandon du taux plancher par la Banque nationale suisse, la direction de Fournier Volailles Importation se justifie.
Ce texte, que le syndicat a transmis aux médias, explique que la hausse du franc va accroître la concurrence des produits importés, «devenus subitement moins chers», que le tourisme d’achat va encore se développer et que l’entreprise va de ce fait subir une énorme pression de ses clients suisses pour baisser ses prix. Sa survie serait menacée. La direction, qui n’était pas joignable hier, écrit: «Votre pouvoir d’achat comme frontalier s’est accru massivement sans aucune contre-prestation.»
L’employeur se réserve ainsi le droit de réduire les salaires au prorata de la différence entre le taux plancher du franc et le nouveau taux. Il assure que la baisse sera entièrement répercutée sur le prix de vente des produits. Et d’inviter ses salariés frontaliers à ne prendre «aucune décision hâtive d’investissement ou de blocage de vos cours de change». Il est toutefois précisé que les salaires correspondant au minimum prévu par la convention collective de la boucherie suisse ne seront pas touchés.
Unia dénonce une «tentative scandaleuse de reporter les conséquences du renchérissement du franc entièrement sur le dos de travailleurs dont le niveau salarial est déjà extrêmement bas».
Selon le syndicat, qui cite une décision d’un tribunal bâlois sur un cas similaire en 2012, cette discrimination salariale entre frontaliers et Suisses est illégale. Le personnel se réunira mardi pour décider d’éventuelles mesures contre cette décision. (TDG)
Tribune de Genève : 23.01.2015
Extraordinaire, non ?
le jour ou ils baissent le salaire ds frontaliers, les genevois ont du soucis à se faire.. si le frontalier coute 20% de moins que le suisse, va y avoir du chômeur suisse
ak (27 janv. 2015) disait:
Ouatitm (26 janv. 2015) disait:
Mais cela commence :
Ce que certains redoutaient est en train d’arriver. Le syndicat Unia a dénoncé jeudi la volonté d’une entreprise de Perly de baisser dès le mois prochain les salaires de ses employés frontaliers. Dans une circulaire adressée à son personnel, le lendemain de l’annonce de l’abandon du taux plancher par la Banque nationale suisse, la direction de Fournier Volailles Importation se justifie.
Ce texte, que le syndicat a transmis aux médias, explique que la hausse du franc va accroître la concurrence des produits importés, «devenus subitement moins chers», que le tourisme d’achat va encore se développer et que l’entreprise va de ce fait subir une énorme pression de ses clients suisses pour baisser ses prix. Sa survie serait menacée. La direction, qui n’était pas joignable hier, écrit: «Votre pouvoir d’achat comme frontalier s’est accru massivement sans aucune contre-prestation.»
L’employeur se réserve ainsi le droit de réduire les salaires au prorata de la différence entre le taux plancher du franc et le nouveau taux. Il assure que la baisse sera entièrement répercutée sur le prix de vente des produits. Et d’inviter ses salariés frontaliers à ne prendre «aucune décision hâtive d’investissement ou de blocage de vos cours de change». Il est toutefois précisé que les salaires correspondant au minimum prévu par la convention collective de la boucherie suisse ne seront pas touchés.
Unia dénonce une «tentative scandaleuse de reporter les conséquences du renchérissement du franc entièrement sur le dos de travailleurs dont le niveau salarial est déjà extrêmement bas».
Selon le syndicat, qui cite une décision d’un tribunal bâlois sur un cas similaire en 2012, cette discrimination salariale entre frontaliers et Suisses est illégale. Le personnel se réunira mardi pour décider d’éventuelles mesures contre cette décision. (TDG)
Tribune de Genève : 23.01.2015
Extraordinaire, non ?
le jour ou ils baissent le salaire ds frontaliers, les genevois ont du soucis à se faire.. si le frontalier coute 20% de moins que le suisse, va y avoir du chômeur suisse
la direction de Fournier Volailles Importation disait:la hausse du franc va accroître la concurrence des produits importés, «devenus subitement moins chers»
la direction de Fournier Volailles Importation disait: disait:«Votre pouvoir d’achat comme frontalier s’est accru massivement sans aucune contre-prestation.»
zerchove (27 janv. 2015) disait:
bah moi j'ai un tiers de mon revenu qui part dans un emprunt en CHF, donc j'espere bien que :
1- on ne considerera pas que je suis augmenté significativement
2- on prendra en compte qu'avec la chute de l'euro, mon impot en frouzalie va augmenter considerablement alors qu'au moins un tiers de ce revenu ne sera jamais converti en eur
C'était mon moment larmoyant du pays des cadres trop payés
marc 68 (27 janv. 2015) disait:
zerchove (27 janv. 2015) disait:
bah moi j'ai un tiers de mon revenu qui part dans un emprunt en CHF, donc j'espere bien que :
1- on ne considerera pas que je suis augmenté significativement
2- on prendra en compte qu'avec la chute de l'euro, mon impot en frouzalie va augmenter considerablement alors qu'au moins un tiers de ce revenu ne sera jamais converti en eur
C'était mon moment larmoyant du pays des cadres trop payés
Je te rassure: on est au moins 90% des frontaliers de moins de 40 ans dans le même cas
J'ai déjà fait mes calculs: une fois la CMU , l'impots sur le revenu et la hausse du crédit immobilier déduit , il te reste environ 40% de la hausse de ton salaire liée à la flambée du CHF.
inscrit le 06/02/03
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