Vu qu'on a un spécialiste sur ce site, autant ne pas se priver d'une discussion qui brutalise jusqu'à mes propres convictions !
bigbrowser.blog.lemonde.fr
Vu qu'on a un spécialiste sur ce site, autant ne pas se priver d'une discussion qui brutalise jusqu'à mes propres convictions !
bigbrowser.blog.lemonde.fr
ak ( 4 juil. 2012) disait:
en suisse, dans certaines villes, le gr de coke est à 50 chf... 40 euros... il était encore à 600 chf il y a moins de 15 ans...
Ouatitm ( 4 jui 2012) disait:
ak ( 4 juil. 2012) disait:
en suisse, dans certaines villes, le gr de coke est à 50 chf... 40 euros... il était encore à 600 chf il y a moins de 15 ans...
Ouais mais maintenant elle n'est vraiment pas bonne...
D'ailleurs si tu as des adresses pour des produits pas coupés donc sain, je prends.
ak ( 4 jui 2012) disait:
en suisse, dans certaines villes, le gr de coke est à 50 chf... 40 euros... il était encore à 600 chf il y a moins de 15 ans...
el_bodeguero ( 4 juil. 2012) disait:
ak ( 4 jui 2012) disait:
en suisse, dans certaines villes, le gr de coke est à 50 chf... 40 euros... il était encore à 600 chf il y a moins de 15 ans...
Ak, vu que c est un peu ton metier...
La coke est coupée a combien de %
90 % ?
el_bodeguero ( 4 jui 2012) disait:
ak ( 4 jui 2012) disait:
en suisse, dans certaines villes, le gr de coke est à 50 chf... 40 euros... il était encore à 600 chf il y a moins de 15 ans...
Ak, vu que c est un peu ton metier...
La coke est coupée a combien de %
90 % ?
el_bodeguero ( 4 juil. 2012) disait:
ak ( 4 jui 2012) disait:
en suisse, dans certaines villes, le gr de coke est à 50 chf... 40 euros... il était encore à 600 chf il y a moins de 15 ans...
Ak, vu que c est un peu ton metier...
La coke est coupée a combien de %
90 % ?
byron ( 4 juil. 2012) disait:
Vu qu'on a un spécialiste sur ce site, autant ne pas se priver d'une discussion qui brutalise jusqu'à mes propres convictions !
bigbrowser.blog.lemonde.fr
gogol69 ( 5 juil. 2012) disait:
Cependant ce qui est important c'est que la lutte contre les pathologies engendrées par celle soit efficace et que la prévention soit exemplaire pour éviter de nombreuses comorbidités.
gogol69 ( 5 juil. 2012) disait:
Quand à changer de politique, oui je suis d'accord.
Mais on fait quoi? On balance du napalm à vu sur tous les chanmps de coca, cannabis et opiacés?
gogol69 ( 5 juil. 2012) disait:
byron ( 4 juil. 2012) disait:
Vu qu'on a un spécialiste sur ce site, autant ne pas se priver d'une discussion qui brutalise jusqu'à mes propres convictions !
bigbrowser.blog.lemonde.fr
Ces articles sont extrêmement dangereux parce que c'est avec ce genre de constatations statistique et d’amalgame que certaines personnes prônent la circulation libre des produits.
Reconnaître que la prohibition est responsable de la majorité des overdoses et des nouvelles infections par le VIH et les hépatites serait le premier pas vers des politiques sensées de lutte contre les drogues. Reconnaître que ce n'est pas l'utilisation de drogues qui rend les personnes vulnérables mais bien des conditions socio-économiques complexes qui les contraignent à utiliser ces drogues, en serait un autre.
Des produits interdits, ce sont des produits non contrôlés qui peuvent contenir des composants dangereux, mal dosés, mal utilisés. Une utilisation clandestine, c'est une injection qui se fait sans accompagnement, dans de mauvaises conditions sanitaires, et qui oblige les usagers à partager leur seringue puisqu'il est difficile de s'en procurer. Les auteurs de la Déclaration de Vienne* le rappellent : chaque année, "sans compter l'Afrique subsaharienne, l'utilisation de drogues est responsable d'un tiers des nouveaux cas de VIH dans le monde". Europe de l'Est en tête.
Face à l'urgence de la situation, l'Onusida, l'OMS, et de nombreux experts de la lutte contre le sida recommandent de freiner la pénalisation, de soutenir et de développer les stratégies de réduction des risques, d'autoriser l'ouverture de salles de consommation et la distribution de seringues stériles pour diminuer le nombre d'infections par le VIH et les hépatites. Une étude publiée mi-avril dans la revue The Lancet a démontré que l'ouverture d'une salle de consommation avait réduit de manière drastique (35%) les overdoses mortelles dans la ville de Vancouver, au Canada. D'autres exemples au Portugal, aux Pays-Bas, en Suisse, au Mexique, prouvent que de telles mesures n'incitent pas à la désinhibition.
source:aides.org
et ce genre là?
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
Et quid de l'impact de la législation dans les pays pauvres? Autoriser la drogue dans les pays où ca peut être encadré est une chose, dans les pays africains ou d'amérique latine, à mon avis c'en est une autre.
Et comparer l'alcool à la drogue, est ce pertinent? C'est quoi le pouvoir d'addiction de l'alcool par rapport à celui de la drogue?
ak ( 5 juil. 2012) disait:
par une politique de contrôle de l'offre... et de légalisation de l'usage
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
La guerre contre la drogue est devenu un business au même titre que celui de la drogue.
Lutter contre la drogue par une politique de l'offre, je reste septique.
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
ak ( 5 juil. 2012) disait:
par une politique de contrôle de l'offre... et de légalisation de l'usage
D'ou ma question : la législation de l'usage en France et en Suisse, je veux bien croire que c'est possible, mais dans les pays sous developpés?
L'alcool qu'on en meurt pendant le sevrage est une chose : mais si je bois 3 verres de vin chaque jour est ce que je peux devenir addict et est ce que c'est vraiment dangereux? (il paraît que deux verres par jour c'est bon pour la santé
Même question pour la cocaïne. Je prends 3 rails chaque jour, je deviens addict, est ce que c'est dangereux?
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
[quote=ak ( 5 juil. 2012)]
par une politique de contrôle de l'offre... et de légalisation de l'usage
ak ( 5 juil. 2012) disait:
Les produits sont classés en trois grandes catégories :
Les stimulants qui stimulent le fonctionnement du système nerveux :
Tabac, Cocaïne, Crack, Médicaments stimulants (Amphétamines et autres dopants), Ecstasy, GHB.
Ces produits favorisent temporairement un état d'éveil et d'excitation et réduisent la fatigue. Ils induisent un sentiment fallacieux d'assurance et de contrôle de soi. L'effet est généralement suivi d'un état d'épuisement et de dépression.
Ils conduisent fréquemment à la dépendance psychique et peuvent induire, à forte dose, des conséquences graves : paranoïa, dépression importante, fatigue généralisée. Ils sont aussi la cause d’accidents par surestimation de ses capacités.
Les hallucinogènes ou perturbateurs qui perturbent le fonctionnement du système nerveux :
Cannabis et produits dérivés, Produits volatils (colles et solvants, anesthésiques volatils), Kétamine, LSD, champignons hallucinogènes etc.
Ces produits provoquent une perturbation de la perception de l'environnement et de la réalité : modifications de la perception du temps et de l'espace, sensibilité exacerbée aux couleurs et aux sons.
A long terme, ils peuvent modifier durablement la personnalité du consommateur qui ne peut plus composer avec les éléments de la réalité.
Les dépresseurs qui ralentissent le fonctionnement du système nerveux :
Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines...), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine... ).
Ces produits entrainent une sensation de détente et de rêve ainsi qu'une perte d'inhibition.
Ils conduisent fréquemment à la dépendance physique et peuvent induire, à forte dose, des conséquences graves (arrêt cardiaque ou respiratoire). Ils sont également la cause d'accidents par perte de vigilance et de contrôle de soi.
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
ak ( 5 juil. 2012) disait:
ak ( 5 juil. 2012) disait:
Les produits sont classés en trois grandes catégories :
Les stimulants qui stimulent le fonctionnement du système nerveux :
Tabac, Cocaïne, Crack, Médicaments stimulants (Amphétamines et autres dopants), Ecstasy, GHB.
Ces produits favorisent temporairement un état d'éveil et d'excitation et réduisent la fatigue. Ils induisent un sentiment fallacieux d'assurance et de contrôle de soi. L'effet est généralement suivi d'un état d'épuisement et de dépression.
Ils conduisent fréquemment à la dépendance psychique et peuvent induire, à forte dose, des conséquences graves : paranoïa, dépression importante, fatigue généralisée. Ils sont aussi la cause d’accidents par surestimation de ses capacités.
Les hallucinogènes ou perturbateurs qui perturbent le fonctionnement du système nerveux :
Cannabis et produits dérivés, Produits volatils (colles et solvants, anesthésiques volatils), Kétamine, LSD, champignons hallucinogènes etc.
Ces produits provoquent une perturbation de la perception de l'environnement et de la réalité : modifications de la perception du temps et de l'espace, sensibilité exacerbée aux couleurs et aux sons.
A long terme, ils peuvent modifier durablement la personnalité du consommateur qui ne peut plus composer avec les éléments de la réalité.
Les dépresseurs qui ralentissent le fonctionnement du système nerveux :
Alcool, Médicaments tranquillisants et somnifères (Barbituriques, Benzodiazépines...), Opiacés (Héroïne, Méthadone, Codéine, Morphine... ).
Ces produits entrainent une sensation de détente et de rêve ainsi qu'une perte d'inhibition.
Ils conduisent fréquemment à la dépendance physique et peuvent induire, à forte dose, des conséquences graves (arrêt cardiaque ou respiratoire). Ils sont également la cause d'accidents par perte de vigilance et de contrôle de soi.
merci de lire avant de poser des questions dont les réponses sont deja écrites...
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
La question est "quelle quantité faut il pour devenir dépendant à l'alcool et à la drogue" Tu réponds que c'est variable selon les sujets, mais existe t'il une étude scientifique et statistique qui démontre qu'on devient plus facilement et plus rapidement dépendant de la drogue?
null disait:La dépendance ne s’installe pas du jour au lendemain. Entre le moment ou une personne « essaie » un produit et le moment ou elle ne peut plus s’en passer, il se passe du temps.On peut schématiser le processus en trois temps :
Usage : consommation occasionnelle, limitée à des contextes particuliers (généralement festif) et qui n’entraîne pas ou peu de conséquences sur la vie de la personne.
Abus : la consommation devient plus régulière, ou alors des quantités importantes de produits sont consommées en peu de temps. On parle aussi d’usage nocif ou encore de consommation problématique, c'est-à-dire que la personne commence à éprouver des difficultés liées à sa consommation, que ce soit d’ordre social, scolaire, professionnel….
Dépendance : le consommateur a perdu tout contrôle sur sa consommation ; il ne peut plus se passer de prendre le produit sans ressentir le manque.
L’évolution de la consommation vers la dépendance se fait insidieusement, sans que la personne ne s’en rende compte. En effet, la consommation entraîne un phénomène particulier « la tolérance » ou "l’accoutumance", c'est-à-dire le fait que l’organisme s’habitue aux effets du produit, entraînant la nécessité pour le consommateur d’augmenter les doses.Et ce qui peut expliquer l’entrée dans la toxicomanie, c’est "la rencontre entre une personne et un produit à un moment socio-culturel particulier" (Olivenstein). Cela signifie que tout le monde ne devient pas toxicomane, il s’agit d’un individu fragile pour de multiples raisons, qui rencontre un produit à un moment particulier de sa vie.
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
La question est "quelle quantité faut il pour devenir dépendant à l'alcool et à la drogue" Tu réponds que c'est variable selon les sujets, mais existe t'il une étude scientifique et statistique qui démontre qu'on devient plus facilement et plus rapidement dépendant de la drogue?
Ensuite, consommer de l'alcool en quantité raisonnable est il moins dangereux que de la drogue?
Enfin, concernant ta remarque sur le fait que la France soit un pays producteur donc que les études sont forcément dirigées, je ne crois pas dans la théorie du complot d'une part et d'autre part il me semblait qu'il y avait une étude anglaise qui démontrait la même chose
babou7374 ( 5 jui 2012) disait:
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
La question est "quelle quantité faut il pour devenir dépendant à l'alcool et à la drogue" Tu réponds que c'est variable selon les sujets, mais existe t'il une étude scientifique et statistique qui démontre qu'on devient plus facilement et plus rapidement dépendant de la drogue?
En effet, ça n'a rien à voir avec les quantités.
null disait:La dépendance ne s’installe pas du jour au lendemain. Entre le moment ou une personne « essaie » un produit et le moment ou elle ne peut plus s’en passer, il se passe du temps.On peut schématiser le processus en trois temps :
Usage : consommation occasionnelle, limitée à des contextes particuliers (généralement festif) et qui n’entraîne pas ou peu de conséquences sur la vie de la personne.
Abus : la consommation devient plus régulière, ou alors des quantités importantes de produits sont consommées en peu de temps. On parle aussi d’usage nocif ou encore de consommation problématique, c'est-à-dire que la personne commence à éprouver des difficultés liées à sa consommation, que ce soit d’ordre social, scolaire, professionnel….
Dépendance : le consommateur a perdu tout contrôle sur sa consommation ; il ne peut plus se passer de prendre le produit sans ressentir le manque.
L’évolution de la consommation vers la dépendance se fait insidieusement, sans que la personne ne s’en rende compte. En effet, la consommation entraîne un phénomène particulier « la tolérance » ou "l’accoutumance", c'est-à-dire le fait que l’organisme s’habitue aux effets du produit, entraînant la nécessité pour le consommateur d’augmenter les doses.Et ce qui peut expliquer l’entrée dans la toxicomanie, c’est "la rencontre entre une personne et un produit à un moment socio-culturel particulier" (Olivenstein). Cela signifie que tout le monde ne devient pas toxicomane, il s’agit d’un individu fragile pour de multiples raisons, qui rencontre un produit à un moment particulier de sa vie.
ak ( 5 juil. 2012) disait:
babou7374 ( 5 jui 2012) disait:
Bott. ( 5 juil. 2012) disait:
La question est "quelle quantité faut il pour devenir dépendant à l'alcool et à la drogue" Tu réponds que c'est variable selon les sujets, mais existe t'il une étude scientifique et statistique qui démontre qu'on devient plus facilement et plus rapidement dépendant de la drogue?
En effet, ça n'a rien à voir avec les quantités.
null disait:La dépendance ne s’installe pas du jour au lendemain. Entre le moment ou une personne « essaie » un produit et le moment ou elle ne peut plus s’en passer, il se passe du temps.On peut schématiser le processus en trois temps :
Usage : consommation occasionnelle, limitée à des contextes particuliers (généralement festif) et qui n’entraîne pas ou peu de conséquences sur la vie de la personne.
Abus : la consommation devient plus régulière, ou alors des quantités importantes de produits sont consommées en peu de temps. On parle aussi d’usage nocif ou encore de consommation problématique, c'est-à-dire que la personne commence à éprouver des difficultés liées à sa consommation, que ce soit d’ordre social, scolaire, professionnel….
Dépendance : le consommateur a perdu tout contrôle sur sa consommation ; il ne peut plus se passer de prendre le produit sans ressentir le manque.
L’évolution de la consommation vers la dépendance se fait insidieusement, sans que la personne ne s’en rende compte. En effet, la consommation entraîne un phénomène particulier « la tolérance » ou "l’accoutumance", c'est-à-dire le fait que l’organisme s’habitue aux effets du produit, entraînant la nécessité pour le consommateur d’augmenter les doses.Et ce qui peut expliquer l’entrée dans la toxicomanie, c’est "la rencontre entre une personne et un produit à un moment socio-culturel particulier" (Olivenstein). Cela signifie que tout le monde ne devient pas toxicomane, il s’agit d’un individu fragile pour de multiples raisons, qui rencontre un produit à un moment particulier de sa vie.
et aujourd'hui on ne parle plus de dépendance, mais d'addiction...
ak ( 5 juil. 2012) disait:
la même quantité de drogue prise par 2 personnes différentes a des effets totalement différent... alcool compris...
et j'insiste, l'alcool est une drogue comme une autre... juste légale..
anotherlin ( 5 jui 2012) disait:
ak ( 5 juil. 2012) disait:
la même quantité de drogue prise par 2 personnes différentes a des effets totalement différent... alcool compris...
et j'insiste, l'alcool est une drogue comme une autre... juste légale..
Quand je bois un verre, je deviens tout rouge. D'autres peuvent boire énormément et souffler dans un ballon sans qu'on y détecte la moindre trace d'alcool. Je te vise pas bott
inscrit le 13/01/04
34K messages