"des sanctions contre ceux qui prennent des risques pour eux et pour les autres sur les pistes de ski", prônant une "tolérance zéro".
"On ne peut accepter les comportements irresponsables. Les skieurs doivent contrôler leur vitesse et leur trajectoire, on ne peut accepter que les gens se comportent comme des voyous sur les pistes", a déclaré le ministre.
"Ce que nous avons réussi sur les routes (la baisse du nombre de victimes, ndlr), on va le réussir partout, aussi bien en mer qu'en montagne", a ajouté le ministre, qui venait de rencontrer les responsables des services de secours en montagne (Sécurité civile, gendarmerie, CRS et guides de haute montagne) et d'assister à un exercice de secours aux victimes d'avalanche.
Interrogé sur une possible fusion des secours en montagne, notamment des CRS, gendarmes et pompiers, le ministre a répondu: "chacun a sa spécificité et ils sont complémentaires". Il a aussi salué la qualité du secours en montagne en France et affirmé qu'il restait "attaché à la gratuité des secours".
Le ministre, très détendu, s'est renseigné sur une éventuelle escalade du Mont-Blanc (4.810 m) et les problèmes d'acclimatation à l'altitude. Le projet pourrait se réaliser en juillet en compagnie du directeur général de la gendarmerie nationale, le général Guy Parayre, du directeur national des CRS, Christian Lambert, et du député UMP de Haute-Savoie Martial Saddier, après un week-end d'adaptation à l'altitude en juin, a déclaré le ministre de l'Intérieur.
Le ministre a participé à un déjeuner en présence des élus locaux avant de repartir en début d'après-midi.
"On ne peut accepter les comportements irresponsables. Les skieurs doivent contrôler leur vitesse et leur trajectoire, on ne peut accepter que les gens se comportent comme des voyous sur les pistes", a déclaré le ministre.
"Ce que nous avons réussi sur les routes (la baisse du nombre de victimes, ndlr), on va le réussir partout, aussi bien en mer qu'en montagne", a ajouté le ministre, qui venait de rencontrer les responsables des services de secours en montagne (Sécurité civile, gendarmerie, CRS et guides de haute montagne) et d'assister à un exercice de secours aux victimes d'avalanche.
Interrogé sur une possible fusion des secours en montagne, notamment des CRS, gendarmes et pompiers, le ministre a répondu: "chacun a sa spécificité et ils sont complémentaires". Il a aussi salué la qualité du secours en montagne en France et affirmé qu'il restait "attaché à la gratuité des secours".
Le ministre, très détendu, s'est renseigné sur une éventuelle escalade du Mont-Blanc (4.810 m) et les problèmes d'acclimatation à l'altitude. Le projet pourrait se réaliser en juillet en compagnie du directeur général de la gendarmerie nationale, le général Guy Parayre, du directeur national des CRS, Christian Lambert, et du député UMP de Haute-Savoie Martial Saddier, après un week-end d'adaptation à l'altitude en juin, a déclaré le ministre de l'Intérieur.
Le ministre a participé à un déjeuner en présence des élus locaux avant de repartir en début d'après-midi.
inscrit le 30/01/04
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