Bon, je sens qu'il y a embrouille! On ne s'excite pas surtout!
A propos du changement climatique, on peut tout dire et son contraire.
On ne peut nier le fait qu'à l'échelle planétaire, c'est à dire en terme de moyenne mondiale, la température augmente.
On ne peut nier que le taux de CO2 ( si-o-tou dirait vandamme ) dans les carottes montre une élévation phénoménale.
Ce qu'on ne sait absolument pas, ce sont les incidences sur le temps qu'il fera dans les prochaines années.
Dès qu'il se passe un truc pas courant, c'est la faute au Changement climatique.
Mais on a la mémoire courte, et des trucs pas courants, il s'en est toujours passés.
Un jour au JT, un jardinier s'étonnait des bourgeons au mois de février, et invoquait le réchauffement. Mais il y a toujours eu des années à bourgeons en février.
Quand il y a eu la canicule, on nous disait que ça se reproduirait tous les étés quasiment. On se rend compte que ce n'est pas du tout le cas.
Quand on parle des années sans neige, on s'imagine que c'est nouveau. Lisez Frison-Roche et vous verrez que dans les années 30, il y en avait aussi.
Quand on parle de la fonte des glaciers, on s'imagine qu'ils fondent surtout depuis les années 80, alors qu'en fait, ils fondaient plus vite à la fin du 19ème siècle. Ce sont juste des restes de la dernière période glaciaire, qui de toute façon, réchauffement ou pas, sont voués à disparaître... jusqu'à la prochaine glaciation.
Quand on parle de sécheresse ou d'inondations, vous pouvez trouver des documents de Napoléon évoquant exactement le smêmes soucis chez les agriculteurs.
Alors, peut-être que le changement actuel accélère certains processus. Mais en fait, personne n'en est certain.
Quand le GIEC dit qu'il y aura dans les 50 ans à venir une augmentation de la température planétaire entre 1° et 6°, c'est un peu se foutre du monde car n'importe qui est capable de donner des fourchettes aussi larges.
Quelle est la part de l'homme dans tout ce processus? Car pour une partie, la nature y est tout de même pour quelque chose aussi. On appelle ça des cycles climatiques.
Bref, le climat change, il a toujours changé. Avons-nous lancé un processus à retardement? Cela se saura à l'avenir.
En tout cas, je pense que de toute façon, le principe de précaution doit être appliqué. On ne connaît finalement pas grand chose au climat. Ne soyons sûrs de rien. Mais ne pillons plus les ressources naturelles. Car de toute manière, elles ne sont pas inépuisables. Evitons de polluer.
A propos du changement climatique, on peut tout dire et son contraire.
On ne peut nier le fait qu'à l'échelle planétaire, c'est à dire en terme de moyenne mondiale, la température augmente.
On ne peut nier que le taux de CO2 ( si-o-tou dirait vandamme ) dans les carottes montre une élévation phénoménale.
Ce qu'on ne sait absolument pas, ce sont les incidences sur le temps qu'il fera dans les prochaines années.
Dès qu'il se passe un truc pas courant, c'est la faute au Changement climatique.
Mais on a la mémoire courte, et des trucs pas courants, il s'en est toujours passés.
Un jour au JT, un jardinier s'étonnait des bourgeons au mois de février, et invoquait le réchauffement. Mais il y a toujours eu des années à bourgeons en février.
Quand il y a eu la canicule, on nous disait que ça se reproduirait tous les étés quasiment. On se rend compte que ce n'est pas du tout le cas.
Quand on parle des années sans neige, on s'imagine que c'est nouveau. Lisez Frison-Roche et vous verrez que dans les années 30, il y en avait aussi.
Quand on parle de la fonte des glaciers, on s'imagine qu'ils fondent surtout depuis les années 80, alors qu'en fait, ils fondaient plus vite à la fin du 19ème siècle. Ce sont juste des restes de la dernière période glaciaire, qui de toute façon, réchauffement ou pas, sont voués à disparaître... jusqu'à la prochaine glaciation.
Quand on parle de sécheresse ou d'inondations, vous pouvez trouver des documents de Napoléon évoquant exactement le smêmes soucis chez les agriculteurs.
Alors, peut-être que le changement actuel accélère certains processus. Mais en fait, personne n'en est certain.
Quand le GIEC dit qu'il y aura dans les 50 ans à venir une augmentation de la température planétaire entre 1° et 6°, c'est un peu se foutre du monde car n'importe qui est capable de donner des fourchettes aussi larges.
Quelle est la part de l'homme dans tout ce processus? Car pour une partie, la nature y est tout de même pour quelque chose aussi. On appelle ça des cycles climatiques.
Bref, le climat change, il a toujours changé. Avons-nous lancé un processus à retardement? Cela se saura à l'avenir.
En tout cas, je pense que de toute façon, le principe de précaution doit être appliqué. On ne connaît finalement pas grand chose au climat. Ne soyons sûrs de rien. Mais ne pillons plus les ressources naturelles. Car de toute manière, elles ne sont pas inépuisables. Evitons de polluer.
inscrit le 25/05/04
14K messages