Ayant un exposé a faire sur le peer 2 peer et le partage sur internet, je voudrais des avis pour et contre la loi davdsi.
Alors voila donnez moi vos avis.
Merci
@+ bonne glisse
riderfou (18 décembre 2006 12 h 12) disait:
donc, conclusion, tout le monde a l'air de gagner dans le téléchargement, le P2P, etc...
jojoski (18 décembre 2006 18 h 22) disait:
[Certains groupes américains ne tournent en Europe qu'à perte , en France en particulier.
une excellente source pro P2P:
www.ratiatum.com
Mon avis sur la question c'est les compagnies qui détenaient un oligopole après avoir réussi à enchainer les musiciens dans les années 60, se prennent la technologie dans la tronche et ça fait très mal.
Sur 1€ d'achat de CD un maximum de 40centimes va aux artistes(compositeurs, paroliers, interprètes), le reste c'est pour la pub, l'enregistrement et les bénefs de la maison de disque, et il faut savoir que parfois le train de vie lors d'un enregistrement est fastueux et que la pub peut engloutir des sommes colosales on peut déja chercher à faire des économies là dessus.
La loi Dadvsi s'est faite sous la pression des maisons de disques et les consommateurs en sont les dindons de la farce, l'éditeur d'un contenu culturel peut en interdire la copie à une personne l'ayant acheté légalement, mais ça ne l'empéchera de toucher une partie des taxes pour le droit à la copie privée. Beaucoup appelle ça du racket je suis d'accord avec eux.
Ce qui ressort de ça c'est que seul le "pirate" à sa vie facilité, il choppe ses mp3 faits des cds et des copies sur son lecteur mp3 comme il veut pendant pendant le bon client galère entre les systèmes de gestion de droits incompatibles et les restrictions alors que lui a payé.
Il y a d'autres points que je trouve particulièrement choquant, les maisons de disques font pression afin que la durée du droit d'auteur soit rallongée. Il faut savoir qu'au départ, le droit d'auteur est un contrat passé entre l'artiste et la société:
l'auteur se voit accordée une exclusivité d'exploitation de son oeuvre sur une durée limitée afin de lui permettre de vivre de sont travail intellectuel, en échange de quoi il accepte que son oeuvre soit connue de tous et que passé le délai imparti son oeuvre puisse etre exploité par n'importe qui.
Hors que voit-on aujourd'hui: le pauvre Johnny voit que ses 1ers tubes vont bientot devenir libre de droit et on entend sa maison de disque geindre que 50 d'exclusivité d'exploitation c'est trop court! Quand j'entends des trucs pareil, je ne me fais aucune illusion sur le désir des dirigeants des bigs 5 de dévelloper de nouveaux artistes talentueux, leur seul but c'est de faire de l'argent et d'avoir le plus de vache à lait possible. Ils produisent bien de nouveaux artistes, il y en aura toujours 1 qui sortira du lot et finira par rapporter mais c'est la seule finalité: avoir un artiste qui rapporte pour faire tourner la boutique.
Enfin la vraie, la seule question qui intéresse tous les acteurs de ce débat est la suivante:
qui demain va controler la musique?
Et c'est là qu'internet fait mal au modèle traditionel de vente:
pas besoin de passer par un vendeur intermédaire, pas de frais de pressage de CD, possibilité de se faire sa propre pub et de toucher n'importe qui dans le monde.
En plus l'avantage pour les artistes est qu'ils sont bien plus libre de leur choix, par exemple le dernier album de fiona apple avait été purement et simplement empéché de diffusion. les morceaux était enregistré, mais la maison de disque à tout bloqué.
Résultat quelqu'un a diffusé l'album par p2p et tous les fans se sont jetés dessus...
biquette (22 décembre 2006 10 h 19) disait:
.... Qui pirate? La moyenne d'âge ne doit pas dépasser 25 ans. C'est donc un public jeune. Et par définition, un public aux moyens financiers très limités. ....
coco6774 (22 décembre 2006 12 h 37) disait:
je pense que c est effectivememt une question d affectation des moyens financiers. loisirs numeriques cela n existqit pas il y a qqs annees. le budget de cela augmente au detriment d autres postes.
inscrit le 14/11/06
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