Andorra amb Flaiiiix FM
On s’est levé, on a pris nos affaires, on est partis, on s’est trompés, on a fait une belle photo, on a mangé des Princes, on a frôlé la mort, on est arrivés, on a longtemps réfléchis, puis on y a plus pensé.
On est partis manger, on a mangé, on a été très discrets, on a regardé la télé, on a fait le plein de vitamines, on a bien rigolé, on a reregardé la télé, et on a bien rerigolé.
On a dormi, mal dormi.
On s’est réveillé, à peu près, on a déjeuné les poches pleines, on est passés voir Roberto, on est montés, descendus, remontés, redescendus, on a eu mal aux pieds, on a pris le métro, pour finalement sortir les lignes les plus engagées jamais vue à Arinsal.
On s’est perdus, on s’est retrouvés, on s’est flingué un ou deux adducteurs, on a pris un sacré coup de vent, on a eu faim, on a insulté San Miguel, on a ouvert une boite de pâté, on l’a mangée, on a acheté de l’eau, on a repris le métro.
On est montés, descendus, remontés, redescendus, on est tombés, tous.
On a longtemps discuté avec Clément, on a caché les clefs de l’Hotel, on a mis longtemps à revenir, puis on l’a laissé partir. Il a des obligations.
On a roulé, on est allé manger, on a vu quelques buches, on a pris une amende, on a eu de la chance, un peu, on a négocié, presque.
On est retournés à l’hôtel, on a tiré, fort, on a bien rigolé, puis on a dormi, bien dormi.
On s’est reréveillé, on a déjeuné, à cinq, on a rempli la voiture, on a eu peur, un peu, on a eu sacrément mal, pas tous.
On s’est garé, mal, on a pas pensé aux courses, on a touché la poudre, on a mangé pas grand-chose pour peu près 20 000 euros, on a trashé le park d’Arcalis, on retourné les boites, on a dompté les plus gros kickers, on a skié, un peu.
On est repassé voir Roberto, on est allé faire des courses sans argent, on a repris la voiture, on a gagné 15 heures, on s’est pas trompés, on est arrivés à Toulouse, on a pleuré.
On aurait jamais du rentrer !
On est partis manger, on a mangé, on a été très discrets, on a regardé la télé, on a fait le plein de vitamines, on a bien rigolé, on a reregardé la télé, et on a bien rerigolé.
On a dormi, mal dormi.
On s’est réveillé, à peu près, on a déjeuné les poches pleines, on est passés voir Roberto, on est montés, descendus, remontés, redescendus, on a eu mal aux pieds, on a pris le métro, pour finalement sortir les lignes les plus engagées jamais vue à Arinsal.
On s’est perdus, on s’est retrouvés, on s’est flingué un ou deux adducteurs, on a pris un sacré coup de vent, on a eu faim, on a insulté San Miguel, on a ouvert une boite de pâté, on l’a mangée, on a acheté de l’eau, on a repris le métro.
On est montés, descendus, remontés, redescendus, on est tombés, tous.
On a longtemps discuté avec Clément, on a caché les clefs de l’Hotel, on a mis longtemps à revenir, puis on l’a laissé partir. Il a des obligations.
On a roulé, on est allé manger, on a vu quelques buches, on a pris une amende, on a eu de la chance, un peu, on a négocié, presque.
On est retournés à l’hôtel, on a tiré, fort, on a bien rigolé, puis on a dormi, bien dormi.
On s’est reréveillé, on a déjeuné, à cinq, on a rempli la voiture, on a eu peur, un peu, on a eu sacrément mal, pas tous.
On s’est garé, mal, on a pas pensé aux courses, on a touché la poudre, on a mangé pas grand-chose pour peu près 20 000 euros, on a trashé le park d’Arcalis, on retourné les boites, on a dompté les plus gros kickers, on a skié, un peu.
On est repassé voir Roberto, on est allé faire des courses sans argent, on a repris la voiture, on a gagné 15 heures, on s’est pas trompés, on est arrivés à Toulouse, on a pleuré.
On aurait jamais du rentrer !
