Cet article est une production skipass.com, réalisée avec le soutien de l'Office du Tourisme Champsaur & Valgaudemar.
À deux heures de Marseille et une heure de Grenoble, le Champsaur est une large vallée des Hautes-Alpes qui offre de nombreuses possibilités de ski, que vous soyez plutôt orienté alpin, nordique ou ski de randonnée. Mais le Champsaur, c'est aussi une histoire, une culture, un patrimoine et surtout un rythme de vie différent de ce que l'on peut connaitre dans les "usines à neige" où s'entassent habituellement les skieurs. Si votre but est de déconnecter, prendre votre temps, profiter et évidemment, vous faire plaisir, vous êtes au bon endroit. Présentations.
Depuis Grenoble, en remontant le Drac (l'un des affluents de l'Isère), vous arriverez dans le Champsaur, où il prend sa source. Bordant le Sud du massif des Ecrins, cette large vallée bénéficie à la fois d'un bon enneigement (la neige y tombe dans à peu près tous les axes de perturbations) et de l'ensoleillement record des Alpes du Sud. Non loin du lac du Sautet, le Drac est rejoint par le torrent de la Séveraisse, en provenance du Valgaudemar, vallée voisine plus étroite qui s'enfonce au coeur du massif.
Une grande partie des communes de ces deux vallées fait partie de l'aire d'adhésion au Parc National des Ecrins, et les zones les plus montagneuses de celles-ci se trouvent dans la partie "coeur" du Parc (voir ci-dessous à droite). En remontant vers sa source, le Drac se divise entre le Drac Blanc d'un côté (la vallée de Champoléon, plongeant elle aussi entre les sommets des Ecrins) et le Drac Noir de l'autre, vers Prapic et Orcières-Merlette (la distinction toponymique entre les deux torrent étant due à leur morphologie et la nature des terrains qu'ils traversent, plus accidentelle et calcaire pour le Drac Noir, assombrissant l'eau).
D'origine glaciaire, la vallée s'évase pour devenir large dans sa partie centrale avant de plonger vers le Nord. Elle est donc plutôt sensible au vent frais venant du Grésivaudan, la fameuse "bise", parfois accompagnée d'une mer de nuages qui se dissipe sur le col Bayard. L'été y est cependant très agréable grâce à l'influence du climat méditerranéen au Sud.
Une des particularités du Champsaur est son bocage : aménagé par les anciens paysans, c'est un ensemble structuré de haies qui entoure les parcelles agricoles, formant un maillage verdoyant dans toute la vallée (bien visible sur la photo ci-dessous, mais aux couleurs hivernales). Les avantages sont multiples : irrigation (les haies sont parcourues par de nombreux canaux), protection contre l'érosion des sols, diminution des impacts du vent et augmentation de la biodiversité (plus de détails ici pour les curieux).
Le fameux bocage au second plan, surplombé par la station de Chaillol puis par le plus haut sommet de la vallée, le Vieux Chaillol (3163m) dont elle tire son nom :
Des plus anciennes traces d'occupation durant l'ère romaine à l'avènement des sports d'hiver en passant par les guerres de religions du XVIIe siècle, l'histoire de la vallée (qui tiendrait son nom d'une expression signifiant "champ jaune", bien que cette origine fasse débat) est riche et pourrait remplir plusieurs articles. Après un pic de population au milieu du XIXe siècle, l'exode rural qui a suivi a laissé plusieurs villages et hameaux à l'abandon, encore bien visibles aujourd'hui (certains sont des classiques de randonnées estivales comme Chaudun, situé entre le Champsaur et le Dévoluy, ou Méollion, dans la vallée de Champoléon).
Le Champsaur possède une grande tradition agricole et compte encore aujourd'hui près de 300 exploitations, notamment des éleveurs : bovins et porcins en vallée, ovins et caprins plus en hauteur, dans les alpages, durant l'été. Cette activité a façonné au fil des siècles ce qu'est la vallée aujourd'hui, que ce soit au niveau des réseaux d'irrigations et du bocage, de l'organisation des villages ou du patrimoine traditionnel de la vallée (voir également l'excellent article "L'architecture rurale du Champsaur" de Marie-Pascale Mallé).
De nos jours, et depuis plusieurs décennies, le tourisme a pris le relais de l'agriculture dans l'économie locale. Six stations de ski ont émergé au cours des années 60 (cinq petites et une grande), et le tourisme estival s'est développé, notamment autour de la randonnée et du VTT.
Le Champsaur est connu pour son terroir et ses spécificités culinaires locales, directement dérivées des traditions ancestrales : tourtons, ravioles (pas celles auxquelles vous pensez), "oreilles d'ânes" (un gratin de lasagnes aux épinards), crouzets, tourtes aux taillons, tartes à la confiture, fromages fermiers, charcuterie... La liste est longue, une semaine ne suffira pas à tout découvrir (voir également en fin d'article). Elles n'ont pas été inventées pour attirer les touristes, elles sont toutes liées à la culture et l'histoire de la vallée, en voici un exemple (tiré de Wikipédia) :
« Les "repas du tardon* et de la chèvre" sont dans chaque commune une occasion de festivité annuelle ou pluriannuelle. Ceux de Champoléon et de la Chapelle-en-Valgaudemar, début octobre, au "retour d'estive", attirent de très nombreux participants. Les fours communaux, longtemps abandonnés, sont de plus en plus remis en activité pour des cuissons collectives de pains, de pizzas, de tourtes, que les villageois se partagent. Au village du Noyer, c'est l'omelette pascale qui réunit tout le village. » (*Le tardon est un agneau de printemps élevé sous la mère, puis emmené en alpage avant d'être vendu à l’automne lors du désamontagnage, la descente des troupeaux)
Revenons à nos moutons, le ski. Le Champsaur offre six possibilités de pratiquer le ski alpin : une grande station (Orcières-Merlette), quatre petites stations (Saint-Léger-les-Mélèzes, Chaillol, Laye et Ancelle) et une toute petite : Serre-Eyraud. Voici leurs atouts :
- Un cadre authentique et hors du temps, dans de petites "stations-villages" qui sont plus villages que stations (Orcières-Merlette mise à part). On est loin de l'usine à ski hyper fréquentée. Le rythme de vie est différent, plus tranquille, loin du stress de la ville.
- Les forfaits sont peu chers.
- Il y a des pistes pour tous les niveaux, depuis la belle piste bleue des Champets (Saint-Léger) à la noire des Hommes (Orcières-Merlette), en passant par les espaces débutants des différents fronts de neige.
- Une véritable nature est à portée de main, avec de nombreuses possibilités de balades, depuis la classique et tranquille en raquettes, aux sorties plus engagées en ski de randonnée voire en alpinisme. Plusieurs vallons isolés permettent d'aller se perdre en peaux de phoque (Archinard, Prapic, Rouanne , liste non exhaustive). Dans tous les cas, vous ne serez pas embêtés par le monde.
- De nombreuses activités et loisirs sont possibles pour ceux qui souhaitent se changer les idées entre deux sessions de ski : randonnée nordique, ski de fond (quatre sites), chiens de traîneaux, ski joëring, patinoires, luge, cascade de glace, etc.
Il est malheureusement trop long de vous détailler les spécificités de chaque station de la vallée, nous nous sommes donc concentrés sur trois domaines que nous allons vous présenter plus en détails : Laye, Serre-Eyraud et Saint-Léger. Si vous voulez faire de la poudreuse entre les mélèzes, ces stations sont un bon choix : leur orientation, plutôt à l'ubac, permet de conserver une neige froide.
En premier ici les deux stations "plein Sud", Orcières et Chaillol :
La fiche complète de la station : Laye.
Où ? A 15 min de Gap, proche de la route Napoléon, menant à Grenoble.
8 pistes de qualité / 5 remontées (téléskis) / 1300-1950 m / Orientée Est / Forfait 21,50€
Ceux qui aiment le calme, la lenteur et le ski de forêt dans les mélézins. Si le changement vous perturbe, Laye est votre domaine : elle reste fidèle à elle-même. Il n'y a qu'un unique restaurant, et toujours le fameux "forfait sandwich", 2h de ski entre midi et deux avec un sandwich compris pour 11€50. Dépaysement garanti.
A portée de main à Laye, il est possible de faire du grand ski. Clément Eynac, un local, nous présente un itinéraire rando (limite pente raide) qu'il affectionne : le Pic de l'Aiguille, les couloirs Est. Nota Bene : à destination de ceux qui cherchent un peu d'engagement...
« L'Aiguille. Jamais tracée. Avec le téléski du haut, tu es à 10/15 min de l'entrée des couloirs qui sont très accessibles et magnifiques à skier sous les grandes lames de roches. Il y a quatre ou cinq descentes incroyables à faire, avec la vue qui porte jusqu'au fond de la vallée. Je pense que c'est une de mes sorties fétiches ! Ce n'est pas donné à tout le monde, ça reste des itinéraires assez raides. Pour les moins aventureux, plus simple et moins engagé mais avec une aussi belle vue : monter jusqu’au Pic de Gleize (la classique du randonneur Gapençais), 300 m de dénivelé depuis le sommet de la station. »
La "classique" du Pic de Gleize elle, ravira donc les randonneurs plus tranquilles (également faisable depuis le col du même nom, à 10 minutes de route). Bonus : l'Aiguille possède de belles grandes voies en dalle pour les grimpeurs qui voudraient revenir en été.
Le pic de l'Aiguille surplombe la station, on y devine les couloirs sur sa gauche :
La fiche complète de la station : Serre-Eyraud.
Où ? En direction d'Orcières-Merlette, à droite après avoir passé Pont-du-Fossé.
9 pistes / 3 téléskis / 2 canons-à-neige / 1480-2100m / Orientée Nord, Nord-Est / Forfait 15,30€
Ceux qui veulent déconnecter réellement. Serre-Eyraud, c'est un petit village isolé et trois téléskis (dont un pour les débutants) au milieu des mélèzes. Pas de galerie marchande ou de boite de nuit : à Serre-Eyraud, on prend son forfait au snack-bar accolé au front de neige, qui fait également office de salle hors-sac.
Serre-Eyraud ravira aussi les meilleurs skieurs : les pentes de la partie haute du domaine n'ont rien à envier aux autres stations. Et même mieux, ceux qui s'aventurent (prudemment bien sûr) entre les mélèzes et sapins pourraient bien trouver des trésors qu'ils n'auraient jamais soupçonnés... On en a déjà trop dit.
Pascale Giraud Guigues nous raconte l'histoire de cette petite station singulière :
« Nous sommes en 1962, les hameaux du Champsaur se vident. Des hommes se demandent comment faire pour que les jeunes ne désertent plus leurs villages et leur vallée. A leur initiative, le projet de station à Serre-Eyraud voit le jour.
Deux téléskis et un bar sont implantés. C’est l’âge d’or des stations, l’endroit où il faut être, on vient à pied, on dame les pistes à ski, on dort dans les granges des alentours... Nombre de personnes ont découvert les sports d’hiver à cette époque.
Puis, le ski se démocratise, de nombreuses stations se développent. Un nouveau téléski est créé en 1981, la Croix du Louret, force de la station. Ses pistes à l’ubac et en altitude sont une aubaine.
Pour la date anniversaire des 50 ans de la station, en 2012, une nouvelle piste (la 9ème) est créée. Une piste au profil engagé, en projet depuis 30 ans, qui vient réellement agrandir le domaine. Un beau cadeau d’anniversaire !
Aujourd’hui, on peut dire que Serre-Eyraud c’est une offre de ski différente, inhabituelle. Il faut s’éloigner de ce que l’on connaît dans les grandes stations et imaginer une autre proposition. Un petit hameau dans la montagne, un havre de paix. Une offre qui séduit les adeptes de ski authentique, d’amateurs de glisse naturelle sur un domaine plutôt engagé ou bien des personnes en quête de sérénité. Un endroit où la nature reste reine. L’orientation ainsi que l’altitude lui garantissent un bon enneigement naturel. A l’heure de la mondialisation, on a parfois ici le sentiment d’ une douce quiétude, d’un moment suspendu. »
Pour les plus aventuriers, quelques idées d'itinéraires de ski de randonnée (à repérer et pratiquer avec précaution, les pentes alentours ne sont pas à prendre à la légère) : la classique du versant Nord de la Recula, le col de Combeau, la Grande Autane (plutôt en condition de printemps).
La fiche complète de la station : Saint-Léger-les-Mélèzes, "La plus grande des petites".
Où ? A 20 min de Gap, sous la Petite Autane.
16 pistes / 8 remontées (2 télésièges) / 1260-2001m / Orientée Nord, Nord-Ouest / Forfait 21,50€
Saint-Léger-les-Mélèzes porte bien son nom : en versant Nord, elle offre un peu plus de 700 m de dénivelé, pour tous les niveaux, au milieu de ces beaux arbres caractéristiques des forêts des Alpes du Sud. Cette orientation lui permet de conserver de bonnes conditions de neige, notamment dans la partie supérieure de la station entre le plateau de Libouze et le sommet, le Cuchon. La partie basse, moins raide, s'adresse plutôt à ceux qui débutent.
Votre humble serviteur et auteur de cet article a grandi à Chabottes, juste en dessous de la station. Comme la plupart des jeunes du village, il connait chaque trou de marmotte et chaque branche de mélèze du coin :
« Regardez le plan des pistes, c'est simple, du sommet du Cuchon (panorama dont je ne me lasserai jamais) jusqu'au plateau de Libouze, ce n'est qu'une grande forêt de mélèzes où la neige reste froide. J'ai fait mes premières traces en dehors des pistes sous l'ancien télésiège du Cuchon, à l'époque où c'était un vieux deux places qui vous séchait les mollets à l'embarquement (remplacé depuis par un quatre places). Lors des bonnes saisons, on peut partir du sommet et descendre carrément derrière, côté Ancelle, là où la forêt est moins dense, avant de revenir au niveau du plateau pour finir dans les forêts de feuillus proches du front de neige (faites gaffe aux racines...). Des itinéraires de très beau ski sont possibles, soit en descendant complètement sur Ancelle (avec un retour en voiture), soit en montant sur la crête de la Petite Autane pour faire un des beaux couloirs qui reviennent à la station. Attention, ça, ça engage. Si vous êtes plus orientés pistes, pas de problèmes : la piste bleue des Champets saura vous combler. »
Le village, la station et la Petite Autane (photo Rémi Fabregue) :
Il y a déjà de quoi faire avec ces domaines, mais n'hésitez pas à aller voir également les trois autres stations, chacune a ses atouts :
- Chaillol pour son côté ensoleillé et sa belle vue sur la vallée (avec de nombreuses possibilités de rando au-dessus de la station),
- Ancelle et son plateau, la station est plutôt appréciée des débutants pour sa faible déclivité. Nous vous conseillons d'aller explorer la petite vallée de la Rouanne, à skis de fond ou en ski de rando.
- Et enfin Orcières-Merlette, la grande soeur située au fond de la vallée, en altitude. Au-dessus des arbres, elle permet d'apprécier pleinement le soleil des Alpes du Sud. Les possibilités en ski de rando sont nombreuses, que ce soit au départ des remontées (avec plusieurs belles petites faces) ou dans les vallons alentours, Prapic, Archinard, Méollion, etc.
Vous l'aurez compris, il serait dommage de passer à côté de tout ce qu'offre le Champsaur en dehors du ski. Nous vous conseillons d'aller voir sur le site de l'Office du tourisme Champsaur & Valgaudemar, onglets territoire ou loisirs/activités. Voici un petit résumé des possibilités :
Pour ceux que le côté historique présenté plus haut passionne, vous avez le choix : cinq écomusées restent ouverts l'hiver (le musée du Moulin à Pont-du-Fossé notamment), des visites guidées de fermes sont également possibles. Pour remonter plus loin dans le passé, il est possible de visiter certains châteaux, et enfin si le fait religieux vous intéresse, la vallée possède un important réseau d'édifices à découvrir : églises, chapelles, oratoires.
Difficile de faire un choix tellement la vallée est riche à ce sujet. Nous vous avons sélectionné quelques adresses, bien sur cette liste n'est pas exhaustive :
- La Fromagerie Ebrard (Chabottes) et la Fromagerie du Champsaur (La Fare).
- Tourtons et ravioles : les Tourtons du Champsaur (Chabottes), le Champ d'Or (Brutinel), les tourtons de Pierrot (sur le marché de Saint-Bonnet).
- La Bière d’Ancelle et le Génépi Guillaumette (Pont-du-Fossé) côté fermentation/distillation (l'abus d'alcool est dangereux pour la santé, bien sur, à consommer avec modération).
- Pour manger : Le Petit Renard (Laye), les Chenets (Saint-Julien-en-Champsaur), la célèbre pizzeria des Tounes (Saint-Bonnet-en-Champsaur), la laiterie du Col Bayard (située où son nom l'indique, fait aussi de la vente), la liste est longue...
Loïc Pellegrin, un agriculteur originaire de la vallée, nous donne quelques clés pour dénicher les bons plans :
"En bons produits, je connais surtout des GAEC (Groupement agricole d'exploitation en commun, NDLR) qui font quelques marchés, ils ont peu de visibilité mais ce sont de très bons produits. Il faut aller les chercher quoi. Ferme Pellegrin Family (la famille !), Ferme des Gentillons, GAEC du Chautard, Ferme de la Mourière, GAEC du Pré Lacombe, pour en citer quelques-uns. "
Quelques producteurs de la vallée :
De même, le site de l'Office dans l'onglet du même nom est très complet et vous aidera à trouver la bonne adresse. Voici quelques noms qui nous ont été conseillés :
- L’Auberge des Ecrins à Champoléon.
- La chambre d'hôtes de la Grange des Ecrins à Chabottes.
- L'hôtel-restaurant des Fauvettes à Saint-Léger-les-Mélèzes.
Nous vous laissons avec ces quelques images de produits alléchants. Si avec ça vous n'êtes pas convaincus...
6 Commentaires
Article sur un super beau coin qui mérite visiblement d'être découvert en hiver (que je connais surtout l'été avec plein de vieux souvenirs genre le Vieux Chaillol pour premier 3000... et d'autres randos à Méollion, Prapic, col du cheval de bois, ... mais c'était il y a bien longtemps)
Bref l'article m'a donné l'envie d'aller y trainer le temps d'un week-end hivernal, c'est au niveau de ce que j'attends de skipass (je le mettrai au même niveau que j'article sur St François Longchamp l'an dernier... et une fois encore pas du tout au même niveau que d'autres publis de cette année vraiment creuses, genre top 5 des stations pour débuter ou le bon plan week-end au ski)
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Parce que celui-là je ne l'ai pas vu sortir en home... par contre j'ai eu le droit à plein de vieux trucs comme "où skier en novembre", "fixations look", "what's up à la Rosière"... avec des fois des petits nouveaux cachés au milieu (les Orres par exemple) mais du coup on s'y perd un peu
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@le roy : Merci pour le retour ! Cet article, celui que tu cites et plusieurs autres (notamment côté marques, les visites d'usines) sont produits par nous (la rédaction) en collaboration avec des marques ou stations. Ce n'est pas le cas des autres, où nous n'intervenons dans une moindre mesure sur le contenu. En ce qui concerne la homepage skipass, on est passés sur un affichage en rotation des contenus En revanche ils restent dans l'ordre chronologique sur les homes dédiées du mag des marques ( skipass.com ) et du mag des stations ( skipass.com ). Ces deux pages (et la home du magazine) devraient évoluer sous peu.
Et du coup je trouve qu'on voit bien la différence même si on lit pas les petites lignes en premier
Pour ce qui est l'affichage en rotation, pas de souci, effectivement ça fait plus de chances que les visiteurs moins réguliers voient l'ensemble du contenu... par contre il faudrait que vous puissiez identifier certains contenus qui sont clairement "datés" pour qu'ils ne ressortent pas à un moment inopportun (j'en reviens au sujet "où skier en novembre" qui semble bizarre en home mi-janvier)
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Twann, tu peux rester à Orcieres. Chaillol au pire. Serre eyraud y’a rien à voir
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