POST EN BORDEL ET DIVAGATION. (et non relu, la flemme).
Je pense que déjà il faut définir ce que c'est que le risque d'une activité.
Je pense que je prend moins de risque quand je n'envoie une barre en plein été avec 8m de vol vertical et 4 ou 5 de long plaqué dans un pierrier que quand je me met une une session de pillow a noel ...
Pourquoi, parce que même si les conséquences physique d'une boite en pillow a noel sont moindre, si je rate ma soutenance de mémoire, ou un exposé de recherche, ou un partiel je nique une année d'étude.
Alors que je me pète une jambe en juin, ma fois, je vais avoir mal, mais je serais rétablit pour bosser en juillet et remis en septembre pour reprendre la saison de ski.
Attention ceci est une théorie plus ou moins personnel ressortant de discutions entre pratiquants et certain master de staps et psycho avec qui j'ai travaillés il y a quelques années.
L'exemple de killa sur le poker est révélateur. Il y a un risque qui croit en fonction de l'importance du gain manquable. C'est un risque négatif; qui peut devenir un risque positif si ce gain manquable et en fait essentiel en terme de réminération/ donc de vie. (besoin)
Dans toute action il y a une notion de problème, une notion de danger et une notion de risque
Le problème c'est la situation objective, fonction de chance de réussite/d'échec)= ratio gain/perte.
Le danger c'est la situation subjective: quantité de facteur impondérable ou impondérés (par flemme, manque de connaissance ...) qui font que notre prise sur le risque, et sa chance de réalisation, notre influence, est plus ou moins importante, c'est immanent à chaque utilisateur.
Et après tu as le risque, ce que toi tu réalises en fonction du danger et l’exposition que tu permets.
Ce que je veux dire par la c'est que Seth Morrison est moi on est par exemple confronté au même problème, je serais plus en danger, mais je prendrais peut être moins de risque ou refuserais la situation...
On a donc: situation objective, valeur du sujet, donc subjective, et objectivation du problème.
Tout ça pour dire que la réponse "oui et non" de killa c'est la mieux.
Le ski, surtout pour les pros est en fait extrême a plusieur niveau, pour le pratiquant qui à sa vie en jeu, le sponsor qui a ses sous en jeu, et le spectateur qui juge sans savoir parce que c'est une curle
On va vers plus de sureté, moins d'accident mais des accidents plus grave quand ils arrivent.
C'est le principe de faire une grande barrière pour ne pas tomber de l'autre coté, toujours plus grande, donc toujours moins de chance de la passer, mais quand tu l'as passe, c'est que tu es passé aussi beaucoup plus haut qu'avant et que la chute n'en sera que plus terrible.
inscrit le 15/12/10
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