Selon le site de Skieur Mag, Antoine songerait à ne pas se rendre à Val Gardena, et penserai sérieusement à mettre un treme à sa carriére, vu le manque de résultats depuis les JO....
triste...
skieur.com
Deneriaz en retraite ?
Pas facile la situation de Tonio qui semble avoir du mal à se remettre de sa chute de 2006...
Un descendeur qui "doute" est un coureur en danger...La marque des champions est de pouvoir rebondir, de prendre les bonnes décisions surtout lorsque l'on a évolué au sommet!
L'exemple de Walchoffer est instructif!
Un descendeur qui "doute" est un coureur en danger...La marque des champions est de pouvoir rebondir, de prendre les bonnes décisions surtout lorsque l'on a évolué au sommet!
L'exemple de Walchoffer est instructif!
Je ne pense pas que se soit agreable de se chier avant chaque depart, a mon avis c'est ce qu'il a de mieux a faire, et le bon moment, les gens se rappel encore de lui.
Ensuite sil arrete on pourra tous de meme le feliciter pour sa tres belle carriere...
Ensuite sil arrete on pourra tous de meme le feliciter pour sa tres belle carriere...
Je ne pense pas que se soit agreable de se chier avant chaque depart, a mon avis c'est ce qu'il a de mieux a faire, et le bon moment, les gens se rappel encore de lui.
Ensuite sil arrete on pourra tous de meme le feliciter pour sa tres belle carriere...
Ensuite sil arrete on pourra tous de meme le feliciter pour sa tres belle carriere...
voilà c'ets offciel
Les raisons de cette annonce
Les nouvelles de ces derniers jours laissaient présager la décision d’Antoine Dénériaz. Depuis son forfait pour les épreuves de Beaver Creek après une 83e place désolante lors de la première descente d’entrainement et affecté par la lourde chute d’Aksel Lund Svindal, le skieur était rentré prématurément en France pour réfléchir. Sa 39e place en descente et sa 48e place en Super-G à Lake Louise lors de la première Coupe du Monde de la saison avait déjà entamé son capital confiance et ses bonnes dispositions de l’été dernier. Car après un hiver post-olympique catastrophique, le champion avait pourtant décidé de repartir : «Je me suis dit que ça pouvait arriver à n’importe quel sportif, que je n’avais pas le droit de baisser les bras et surtout d’arrêter comme ça», déclarait-il cet automne. Etre descendeur ne s’improvise pas et lorsque l’on a une boule au ventre au départ d’une course, mieux vaut ne pas s’engager sur les pentes endiablées des pistes du circuit mondial. Cette sensation de peur, Antoine l’avait depuis sa grosse chute à Are en mars 2006. Souvent, son entourage avait répété qu’on en avait sous-estimé l’impact psychologique. Toutes ces raisons additionnées auront eu raison de sa force de poursuivre une passion qui le pousse depuis plus de dix ans. A 31 ans, après 141 départs en Coupe du Monde, 6 podiums en descente et un titre olympique, le Haut-Savoyard tire sa révérence.
De la gloire… aux rêves brisés
Restera une date. Un dimanche, un 12 février 2006 plus exactement. Lorsque la Marseillaise avait retenti dans l’aire d’arrivée de la piste de descente de Sestrières, le clan tricolore, les supporters venus en masse, les journalistes, tout le monde était en larmes. Antoine Dénériaz devenait champion olympique de descente avec 72 centièmes d’avance sur l’Autrichien Michael Walchhofer et plus d’une seconde sur le Suisse Bruno Kernen. Blessé aux ligaments croisés un an avant à Chamonix, le skieur de Morillon était revenu, petit à petit, à force de travail et motivation. Encadré par un staff animé par la passion du sport et non par la recherche absolue de résultat, le Français avait fait un beau pied-de-nez à l’ensemble du ski mondial.
Alors, comme tout sportif de haut-niveau qui a goûté au plaisir absolu d’une médaille olympique, Antoine Dénériaz avait imaginé une sortie par la grande porte, celle qui reste gravée dans les mémoires et laisse une sensation de légèreté dans le cœur. Cette issue, il l’avait prévue, organisée, rêvée même. «Etre champion du Monde à Val d’Isère en 2009, c’est un rêve. Les images de Franck Piccard me reviennent, je me souviens de sa course aux JO de 1992, j’en ai encore des frissons. Pour moi, ça pourrait être le sommet de ma carrière». Gagner les Mondiaux en France, tel était le moment idéal pour se retirer. La réalité est désormais sans appel, lourde mais bien présente. Si un nom doit maintenant s’inscrire au palmarès mondial de la descente, ce ne sera plus celui d’Antoine Dénériaz.
L’avenir
Le skieur de Morillon va donc entamer une longue reconstruction intérieure pour oublier ces derniers mois, refermer ses blessures et construire son futur sans les skis. Une étape forcément périlleuse qu’il faudra apprendre à surmonter. Bouleverser ses habitudes quotidiennes, prendre de nouveaux repères et maintenant regarder les copains à la télévision. Comment va se reconstruire cette équipe de France qui peine déjà à trouver des bases stables ? Sûrement avec le temps, la passion et l’envie de gagner. Pierre-Emmanuel Dalcin le sait, la saveur d’une victoire vaut bien tous les sacrifices endurés pendant les trois quarts de la saison. Mais il faut aussi savoir se préparer, oser, penser qu’un jour tout s’arrêtera, que ces plaisirs de la glisse ne sont qu’éphémères et que jour après jour, il faudra trouver de nouvelles motivations pour savoir changer de cap. C’est désormais la prochaine longue piste qu’Antoine Dénériaz devra emprunter.
Les raisons de cette annonce
Les nouvelles de ces derniers jours laissaient présager la décision d’Antoine Dénériaz. Depuis son forfait pour les épreuves de Beaver Creek après une 83e place désolante lors de la première descente d’entrainement et affecté par la lourde chute d’Aksel Lund Svindal, le skieur était rentré prématurément en France pour réfléchir. Sa 39e place en descente et sa 48e place en Super-G à Lake Louise lors de la première Coupe du Monde de la saison avait déjà entamé son capital confiance et ses bonnes dispositions de l’été dernier. Car après un hiver post-olympique catastrophique, le champion avait pourtant décidé de repartir : «Je me suis dit que ça pouvait arriver à n’importe quel sportif, que je n’avais pas le droit de baisser les bras et surtout d’arrêter comme ça», déclarait-il cet automne. Etre descendeur ne s’improvise pas et lorsque l’on a une boule au ventre au départ d’une course, mieux vaut ne pas s’engager sur les pentes endiablées des pistes du circuit mondial. Cette sensation de peur, Antoine l’avait depuis sa grosse chute à Are en mars 2006. Souvent, son entourage avait répété qu’on en avait sous-estimé l’impact psychologique. Toutes ces raisons additionnées auront eu raison de sa force de poursuivre une passion qui le pousse depuis plus de dix ans. A 31 ans, après 141 départs en Coupe du Monde, 6 podiums en descente et un titre olympique, le Haut-Savoyard tire sa révérence.
De la gloire… aux rêves brisés
Restera une date. Un dimanche, un 12 février 2006 plus exactement. Lorsque la Marseillaise avait retenti dans l’aire d’arrivée de la piste de descente de Sestrières, le clan tricolore, les supporters venus en masse, les journalistes, tout le monde était en larmes. Antoine Dénériaz devenait champion olympique de descente avec 72 centièmes d’avance sur l’Autrichien Michael Walchhofer et plus d’une seconde sur le Suisse Bruno Kernen. Blessé aux ligaments croisés un an avant à Chamonix, le skieur de Morillon était revenu, petit à petit, à force de travail et motivation. Encadré par un staff animé par la passion du sport et non par la recherche absolue de résultat, le Français avait fait un beau pied-de-nez à l’ensemble du ski mondial.
Alors, comme tout sportif de haut-niveau qui a goûté au plaisir absolu d’une médaille olympique, Antoine Dénériaz avait imaginé une sortie par la grande porte, celle qui reste gravée dans les mémoires et laisse une sensation de légèreté dans le cœur. Cette issue, il l’avait prévue, organisée, rêvée même. «Etre champion du Monde à Val d’Isère en 2009, c’est un rêve. Les images de Franck Piccard me reviennent, je me souviens de sa course aux JO de 1992, j’en ai encore des frissons. Pour moi, ça pourrait être le sommet de ma carrière». Gagner les Mondiaux en France, tel était le moment idéal pour se retirer. La réalité est désormais sans appel, lourde mais bien présente. Si un nom doit maintenant s’inscrire au palmarès mondial de la descente, ce ne sera plus celui d’Antoine Dénériaz.
L’avenir
Le skieur de Morillon va donc entamer une longue reconstruction intérieure pour oublier ces derniers mois, refermer ses blessures et construire son futur sans les skis. Une étape forcément périlleuse qu’il faudra apprendre à surmonter. Bouleverser ses habitudes quotidiennes, prendre de nouveaux repères et maintenant regarder les copains à la télévision. Comment va se reconstruire cette équipe de France qui peine déjà à trouver des bases stables ? Sûrement avec le temps, la passion et l’envie de gagner. Pierre-Emmanuel Dalcin le sait, la saveur d’une victoire vaut bien tous les sacrifices endurés pendant les trois quarts de la saison. Mais il faut aussi savoir se préparer, oser, penser qu’un jour tout s’arrêtera, que ces plaisirs de la glisse ne sont qu’éphémères et que jour après jour, il faudra trouver de nouvelles motivations pour savoir changer de cap. C’est désormais la prochaine longue piste qu’Antoine Dénériaz devra emprunter.
Chapeau bas, Antoine pour l'ensemble de ta carrière sportive 
Merci pour l'émotion que tu nous as donné, surtout lors de la descente olympique de 2006 (énorme!!!), je suis sur que ce jour la tu as fait naitre de nouvelles vocations chez nos futurs champions !
Ton nom est inscrit au palmares des plus grands descendeurs français de Vuarnet, Perillat, Killy ... à Picard, Alphand, Cretier et Deneriaz !
Prendre sa retraite sportive après une longue carrière à haut niveau est une décision très difficile, mais c'est un nouveau départ vers une reconversion qui sera, j'en suis convaincu, une réussite.
Courage et encore bravo Antoine !!! :p
Merci pour l'émotion que tu nous as donné, surtout lors de la descente olympique de 2006 (énorme!!!), je suis sur que ce jour la tu as fait naitre de nouvelles vocations chez nos futurs champions !
Ton nom est inscrit au palmares des plus grands descendeurs français de Vuarnet, Perillat, Killy ... à Picard, Alphand, Cretier et Deneriaz !
Prendre sa retraite sportive après une longue carrière à haut niveau est une décision très difficile, mais c'est un nouveau départ vers une reconversion qui sera, j'en suis convaincu, une réussite.
Courage et encore bravo Antoine !!! :p
Chapeau également j'avais particulièrement apprécié le costard qu'il avait taillé à peine déchaussé à la Goitschel!
Maintenant je ressens aussi une certaine "tristesse" car un champion qui s'en va laisse tjrs un vide surtout dans la discipline de la descente.
De plus sans aller dans le sens d'une superstition de comptoir je constate qu'àprès Crétier lui aussi victime d'une chute spectaculaire après un sacre Olympique, Denériaz subit le même sort....simple coïncidence mais troublante avouons-le!
Oui c'est la loi du sport de haut niveau.
Je me répète encore mais un des seuls cas de comeback après un titre Olympique reste le Kaizer Franz Klammer qui a reconquis une coupe du Monde après une période sombre de plusieurs années
Maintenant je ressens aussi une certaine "tristesse" car un champion qui s'en va laisse tjrs un vide surtout dans la discipline de la descente.
De plus sans aller dans le sens d'une superstition de comptoir je constate qu'àprès Crétier lui aussi victime d'une chute spectaculaire après un sacre Olympique, Denériaz subit le même sort....simple coïncidence mais troublante avouons-le!
Oui c'est la loi du sport de haut niveau.
Je me répète encore mais un des seuls cas de comeback après un titre Olympique reste le Kaizer Franz Klammer qui a reconquis une coupe du Monde après une période sombre de plusieurs années
juste pour le plaisir, et pour se souvenir de ce grand skieur qui restera dans l'histoire du ski francais....merci
dailymotion.com
skipass.com
[Modo]
Le 16 avril 2012 - 07:05
Cette discussion est fermée car elle n'a pas enregistré de nouvelles contributions depuis plus de 6 mois.
Si vous souhaitez intervenir sur cette thématique, nous vous invitons à ouvrir un nouveau sujet sur le même thème.
cordialement
Skipass
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Skipass
inscrit le 10/01/05
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