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Il parait qu'il va y avoir un telesiege au balancier. Pouvez vous me le confirmer?
Il faut esperer que le debit soit plus important que celui des jouvencelles. Il faut aussi esperer qu'il ne supprime pas le Téleski.
Tom
Le syndicat mixte de la station des Rousses s'est réuni hier et a jugé plus prudent de mettre un terme à la procédure d'appel d'offre en cours, afin de « débroussailler » juridiquement le dossier.
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Dans le meilleur des cas, le Noirmont n'aurait pu être ouvert que l'espace d'une quinzaine de jours cet hiver, le temps de mener à bien la procédure d'appel d'offres lancée par le syndicat mixte le 27 janvier dernier. La candidature d'une seule société a été retenue par la commission d'appel d'offres lundi, celle de la « Sogestar ». La société « Rubis Espace Développement » avait quant à elle fait parvenir une « offre de négociation » (« une liste de conditions » selon les élus) en guise d'ultimatum, dans le but de trouver un arrangement avec le syndicat mixte.
Lequel s'est prononcé hier pour une interruption de la procédure, au motif d'« intérêt général tiré de la considération de sécurité juridique ».
Le fait est que le déblocage du dossier devra passer par un éclaircissement juridique. Les travaux de remise aux normes qui ont été engagés sur les remontées du Noirmont par la société « Rubis Espace Développement » sans accord écrit du propriétaire, le syndicat mixte, n'ont toujours pas été payés. Si le syndicat mixte s'engageait à financer le reliquat des travaux (32 000 euros) pour faire tourner le site en cette fin d'hiver, la société « Rubis Espace Développement » pouvait logiquement se prévaloir de la première partie du chantier déjà exécutée. Ou le syndicat mixte se trouver tenu de payer en sus la première partie de ces travaux.
Mardi soir, la communauté de communes de la station des Rousses s'était prononcée favorablement au financement de ce reliquat sous réserve de garanties juridiques. Ce manque de garanties a conduit le syndicat mixte à prendre cette décision hier. Il va maintenant solliciter l'assistance d'un conseiller juridique pour mettre à plat le dossier.
Une remise à plat qui ne devra pas prendre plus de quelques mois pour qu'une solution puisse être trouvée pour l'hiver prochain. Mais dans une hypothèse beaucoup plus pessimiste, au vu de l'épaisseur du dossier, cela pourrait tout aussi bien prendre plusieurs années
J. VANDELLE
Et oui c'est ça Les rousses, querelles de clocher qui ne bénéficie à pas grand monde. Il faut croire que le tourisme cela n'interresse pas grand monde à Bois d'Amont ni au Rousses. Il est vrai que les locaux vont travailler en Suisse, ils n'ont pas de besoin de touristes envahissant leurs routes.
inscrit le 05/01/03
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