http://www.ledauphine.com/fr/images/B88A1FCD-4BD8-435C-8C78-4D1D3E317ABE/LDL_06/le-site-de-la-croix-de-chamrousse-est-emblematique-en-isere.-dans-quelques-mois-de-grands-travaux-de-rehabilitation-vont-demarrer.-le-dl-christophe-agostinis.jpg
Le projet de réhabilitation du site de la Croix de Chamrousse avance à grands pas et se précise. C’est ce qu’a affirmé hier le maire de la plus jeune commune du département, Jacques Guillot, qui s’est également engagé, via un contrat certificat “Équilibre” signé ce mardi avec EDF (lire par ailleurs), en faveur des énergies respectueuses de l’environnement. Dans la lignée « des actions menées par le passé, avec la Charte nationale de l’Association nationale des maires des stations de montagne (ANMSN) notamment… ».
Le dispositif de réhabilitation, véritable « nouvelle étape dans la préservation de ce site sommital emblématique », prévoit, on le sait, la démolition de l’ancien téléphérique (appelé aussi « ancienne gare d’arrivée »
et la reconstruction d’un restaurant d’altitude.
Le projet, “dessiné” par le cabinet d’architecture Guyard, retenu après un appel d’offres lancé en septembre 2009, devrait voir le jour à l’hiver 2012/2013 et non pas pour l’ouverture de la saison 2011/2012 comme cela fut un temps envisagé. « Il faut laisser le temps au temps et ne pas se précipiter. Ce projet est grandiose pour la valorisation du site qui offre un panorama à 360° et une vue imprenable sur les Alpes. C’est un produit touristique “quatre saisons” que nous voulons présenter au public », explique le maire de Chamrousse. Dans les faits, la “gare d’arrivée” va donc disparaître et les touristes, arrivés par les télécabines, pourront emprunter un escalier qui les mènera « sur la terrasse d’un restaurant qui sera construit sous terre » et dont les touristes ne verront que la partie haute, à savoir sa façade vitrée. L’établissement _ un self-service _ devrait comprendre quelque 250 places assises, des cheminées, une terrasse de 600 m 2 et un solarium… Tout près, un espace “grenouillère” « où les gens pourront se chausser ou faire un pique-nique » et, le long du site, sur un sentier périphérique, « un chemin balisé de 700-800 mètres, inscrit dans le sol, « pour une promenade en raquettes l’hiver ou une balade familiale l’été ». Pour coller à l’authenticité du site, le “mobilier” dit minéral sera également privilégié, tout comme les pelouses. Enfin, la célèbre Croix de Chamrousse devrait « être rehaussée de deux mètres » et la tour TDF, visible de loin, « mieux intégrée » dans ce nouveau paysage.
par la rédaction du DL le 15/12/2010 à 05:11
Le projet de réhabilitation du site de la Croix de Chamrousse avance à grands pas et se précise. C’est ce qu’a affirmé hier le maire de la plus jeune commune du département, Jacques Guillot, qui s’est également engagé, via un contrat certificat “Équilibre” signé ce mardi avec EDF (lire par ailleurs), en faveur des énergies respectueuses de l’environnement. Dans la lignée « des actions menées par le passé, avec la Charte nationale de l’Association nationale des maires des stations de montagne (ANMSN) notamment… ».
Le dispositif de réhabilitation, véritable « nouvelle étape dans la préservation de ce site sommital emblématique », prévoit, on le sait, la démolition de l’ancien téléphérique (appelé aussi « ancienne gare d’arrivée »
et la reconstruction d’un restaurant d’altitude.Le projet, “dessiné” par le cabinet d’architecture Guyard, retenu après un appel d’offres lancé en septembre 2009, devrait voir le jour à l’hiver 2012/2013 et non pas pour l’ouverture de la saison 2011/2012 comme cela fut un temps envisagé. « Il faut laisser le temps au temps et ne pas se précipiter. Ce projet est grandiose pour la valorisation du site qui offre un panorama à 360° et une vue imprenable sur les Alpes. C’est un produit touristique “quatre saisons” que nous voulons présenter au public », explique le maire de Chamrousse. Dans les faits, la “gare d’arrivée” va donc disparaître et les touristes, arrivés par les télécabines, pourront emprunter un escalier qui les mènera « sur la terrasse d’un restaurant qui sera construit sous terre » et dont les touristes ne verront que la partie haute, à savoir sa façade vitrée. L’établissement _ un self-service _ devrait comprendre quelque 250 places assises, des cheminées, une terrasse de 600 m 2 et un solarium… Tout près, un espace “grenouillère” « où les gens pourront se chausser ou faire un pique-nique » et, le long du site, sur un sentier périphérique, « un chemin balisé de 700-800 mètres, inscrit dans le sol, « pour une promenade en raquettes l’hiver ou une balade familiale l’été ». Pour coller à l’authenticité du site, le “mobilier” dit minéral sera également privilégié, tout comme les pelouses. Enfin, la célèbre Croix de Chamrousse devrait « être rehaussée de deux mètres » et la tour TDF, visible de loin, « mieux intégrée » dans ce nouveau paysage.
par la rédaction du DL le 15/12/2010 à 05:11
inscrit le 29/09/09
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