Si le sujet vous intéresse, une conférence est organisée à Grenoble, dans le cadre de l'Année Mondiale de la Physique :
Jeudi 9 décembre 2004 à 18h00
Amphithéâtre du CRDP, 11 avenue Général Champon à Grenoble.
"Face au changement climatique, que faire ?" est le titre de cette conférence destinée au grand public et qui sera présentée par Jean-Marc JANCOVICI, ingénieur conseil, spécialisé dans les questions d'énergie et de changement climatique.
Résumé : L'homme détient probablement le triste privilège d'être, depuis l'origine de la Terre, la première espèce vivante à même de profondément bouleverser les conditions climatiques régnant à la surface de notre planète en moins d'un siècle. Quelles en sont les causes et jusqu'où cela peut-il nous emmener ? Que faire si nous estimons les risques inacceptables ? Et tout d'abord comment estimer ces derniers ? Prendre le problème à bras le corps est-il (encore) possible et quelles en seraient les implications pour notre quotidien ? Entre la griserie du "toujours plus", que nous poursuivons actuellement sans relâche, mais qui est inéluctablement porteuse d'une aggravation du risque climatique à terme, et la préservation de conditions environnementales stables, qui nécessiterait probablement "pas mal moins", que choisir ?
Jeudi 9 décembre 2004 à 18h00
Amphithéâtre du CRDP, 11 avenue Général Champon à Grenoble.
"Face au changement climatique, que faire ?" est le titre de cette conférence destinée au grand public et qui sera présentée par Jean-Marc JANCOVICI, ingénieur conseil, spécialisé dans les questions d'énergie et de changement climatique.
Résumé : L'homme détient probablement le triste privilège d'être, depuis l'origine de la Terre, la première espèce vivante à même de profondément bouleverser les conditions climatiques régnant à la surface de notre planète en moins d'un siècle. Quelles en sont les causes et jusqu'où cela peut-il nous emmener ? Que faire si nous estimons les risques inacceptables ? Et tout d'abord comment estimer ces derniers ? Prendre le problème à bras le corps est-il (encore) possible et quelles en seraient les implications pour notre quotidien ? Entre la griserie du "toujours plus", que nous poursuivons actuellement sans relâche, mais qui est inéluctablement porteuse d'une aggravation du risque climatique à terme, et la préservation de conditions environnementales stables, qui nécessiterait probablement "pas mal moins", que choisir ?
inscrit le 13/02/04
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