Les stations des Hautes Pyrénées vont créer une station dans paris en décembre 2005!!! Deux sites sont à l'étude: Les Champs Elysées (s'il vous plait!) et la butte montmartre (bizarre comme idée! )
Lu ds la dépèche du midi d'aujourd'hui:
Lu ds la dépèche du midi d'aujourd'hui:
Ski France, l'organisme géré par l'Association nationale des maires de montagne, société à laquelle sont affiliés plusieurs des premiers magistrats des communes des stations de ski des Hautes-Pyrénées, va créer l'événement en recouvrant de neige, en décembre 2005, tout ou partie de l'avenue des Champs-Elysées à Paris. Si ce projet, pour lequel Jean-Henri Mir, le maire de Saint-Lary-Soulan et trésorier de Ski France, vient de débloquer 2,5 millions d'€ s'avérait trop onéreux, les organisateurs se tourneront très certainement vers la butte Montmartre, autre grand lieu mythique de notre pays. « Cette campagne de communication a pour but, indique, Gilbert Blanc-Tailleur, le maire de Courchevel et président de Ski France, d'inciter les Parisiens à reprendre le chemin de la montagne et des pistes. »
Il est vrai que depuis quelques années, ils sont de moins en moins nombreux à s'adonner aux joies des sports d'hiver. Une désaffection qui n'a cependant pas empêché les stations françaises, et notamment pyrénéennes, de réaliser une superbe saison l'an dernier.
Ce projet n'est pas pour déplaire aux professionnels bigourdans de l'or blanc. Loin s'en faut !
« C'est une très bonne idée. La ville de Paris serait partie prenante. Cela serait du même tonneau que Paris Plage », considère Francis Guiard, le directeur de la station de Luz-Ardiden, qui se souvient qu'il y a quelques années des pistes avaient été aménagées au stade du Parc des Princes et qu'elles avaient drainé beaucoup de Parisiens. De la neige qui, cette fois, pourquoi pas, pourrait provenir de nos vallées.
Michel Pélieu, le président de Peyragudes, trouve aussi « l'idée intéressante. Mais, insiste-t-il, seulement si cet événement a pour but de dynamiser le marché national en s'appuyant sur l'écho qu'en feront les médias. Si c'est uniquement pour séduire les Parisiens, cela ne nous intéresse pas vraiment dans les Hautes-Pyrénées, dans la mesure où cette population, à 90 %, choisit les Alpes bien plus proches. »
Afin que les stations du département ne soient pas noyées au milieu de celles du massif alpin, et ne passent donc quasiment inaperçues, Michel Pélieu envisage de frapper fort s'il se rend à Paris en décembre 2005. « Nous nous y rendrons avec, pourquoi pas, un vrai ours des Pyrénées. » De quoi, c'est sûr, capter l'attention des journalistes
inscrit le 29/01/03
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