Ci-jointes la preuve du crime (ceci dit j'aime beaucoup le second...)
http://www.cahiersdufootball.net/article.php?id=1646&t=33
(tiré de amb-usa.fr
In God We Trust
Cette phrase apparut pour la première fois au Département du Trésor pendant la Guerre de Sécession.
La première proposition vint d’un pasteur de Pennsylvanie dans une lettre qu’il adressa au Secrétaire du Trésor, Salmon P. Chase, en novembre 1861. Celui-ci en fit part au Directeur du Mint, qui lui suggéra plusieurs possibilités : “Our Country, our God”, “God our Trust”. Salmon Chase arrêta finalement sa décision sur “In God We Trust” en décembre 1863. En 1864, la devise apparaissait sur la pièce de 2 cents et en 1873 le “Coinage Act” prévoyait d’utiliser cette devise sur certaines pièces.
Finalement, sur une proposition d’un député de Floride, Charles E. Bennett, la devise fut étendue à toute la monnaie (pièces et billets) le 11 juillet 1955 (69 Stat. 29. U.S. Code 324a) et devint devise nationale officielle le 30 juillet 1956 sur l’initiative du même député. (70 Stat. 732 U.S. Code 186).
Aujourd’hui, la devise nationale des Etats-Unis est “In God We Trust”.
Le commentaire de Jean-Patrick Sacdefiel
"Je ricane, et je jubilerais si mon ulcère ne me faisait tant souffrir. Car je savais que le basculement des pseudo bolcheviques des Cahiers du football dans le monde de l'économie réelle n'irait pas sans reniements honteux ni replis en rase campagne. Ah, ils sont beaux nos idéalistes, transformés en marchands de t-shirts pour draguer l'abonné potentiel, avec pour résultat la gratification de retrouver leur bannière sur les torses des faux jeunes qui composent l'essentiel de leurs lecteurs… Ces hypocrites jouent même le jeu d'une parité factice en proposant leurs calicots à l'engeance féminine!
Et à propos de bannière, je me gausse de voir bientôt celles des annonceurs qui vont barioler leur page d'accueil en désintégrant leur façade de pureté et en montrant leur vrai visage: celui d'une grenouille qui veut se faire aussi grosse que leurs bœufs de concurrents. J'ai enfin un motif de consulter ce site (qui n'est plus que l'ombre de lui-même, si tant est qu'il produisit un jour une quelconque lumière): je guetterai avec impatience la première pub pour Nike, Adidas ou Bouygues Telecom. Là, les Cahiers me donneront enfin le sourire que leur pâle humour ne m'a jamais arraché".
inscrit le 05/05/04
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