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«La Suisse détient les cinquièmes réserves en devise du monde», rappelle La Tribune. Son constat est connu: face à la crise de l’euro, la Banque nationale suisse (BNS) a fixé une limite à l’appréciation du franc. Un taux plancher à 1,20 franc par euro.
Pour bétonner cette limite, la BNS vend des francs et accumulent des devises. En juillet, ses réserves ont encore augmenté de 11%. Résultat: des réserves pour un montant de 406,45 milliards de francs.
La Tribune a fait le calcul. Le BNS détient désormais quasiment la moitié des réserves des dix-sept banques centrales de la zone euro. Sur son magot, elle s’affiche juste derrière la Chine, le Japon, l’Arabie Saoudite et la Russie.
«La Suisse détient les cinquièmes réserves en devise du monde», rappelle La Tribune. Son constat est connu: face à la crise de l’euro, la Banque nationale suisse (BNS) a fixé une limite à l’appréciation du franc. Un taux plancher à 1,20 franc par euro.
Pour bétonner cette limite, la BNS vend des francs et accumulent des devises. En juillet, ses réserves ont encore augmenté de 11%. Résultat: des réserves pour un montant de 406,45 milliards de francs.
La Tribune a fait le calcul. Le BNS détient désormais quasiment la moitié des réserves des dix-sept banques centrales de la zone euro. Sur son magot, elle s’affiche juste derrière la Chine, le Japon, l’Arabie Saoudite et la Russie.
inscrit le 06/02/03
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