Les Alpes pour un Pyrénéen, c'est un peu une grosse machine : des pistes interminables, des remontées mécaniques à la pointe de l'innovation et des parisiens entrain de danser sur les tables des restaurants d'altitude.
En arrivant à La Clusaz avec cette image en tête, d'abord en pleines vacances scolaires - partagées avec Paris bien évidemment-, puis lors de weekends en janvier, on n'est pas déçu.
Le domaine paraît immense, avec des possibilités de ski et de découvertes infinies. La joie de passer une journée entière sans faire deux fois la même piste est une grande nouveauté, de toujours trouver de la bonne neige quelque part, et de pouvoir descendre d'énormes dénivelés négatifs d'un coup, ça donne déjà une belle image du domaine.
Les Pyrénées et les Alpes paraissent alors incomparables tellement les deux sont différentes.
Ça change oui, mais ça n'est pas parfait pour autant - outre le prix des forfaits et le monde-, déjà par l'accès en voiture, facilement compliqué, comme il n'y a qu'une seule route menant au village. Mais ça s'oublie vite, à la première vue du Mont Blanc en haut de l'Étale ou de Balme.
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