Je vais à Grandvalira 2 ou 3x par an dés que ça pose, et ne ski que lorsque le temps est impropre au ski touristique : j'ai la station pour moi.
Le domaine hors piste est vraiment pas mal, on peut accéder aux forets facilement lorsque les remontées sont ouvertes. Prévoir de quoi porter les ski pour aller un peut plus loin dans l'engagement. Il tombe souvent 30cm d'un coup...
La ou la station pèche, c'est le personnel.
A priori les pérche-man ( on ne peut pas les appeler technicien de quoi que ce soit) ont eu leur diplôme au pipométre. Les files de remontées sont très mal gérés,non balisés, les espagnols exécrables dans des files d'attentes anarchiques, les français guère mieux. Si ils pouvaient nous cracher dessus ils l'auraient fait ! Retour à l'état sauvage...
A de nombreuses reprise les gens tombent du télésiège lors de la montée, le pérche-man au chaud dans sa cabane regarde la télé ou tchate une gonzess ou n'est simplement pas la...le télésiége ne s’arrête pas et c'est souvent la catastrophe... Jamais vu ça dans une station Alpine... une vraie honte pour la profession, vivement un procès !
A part ces points, les pistes sont plutôt pas mal, la qualité de neige souvent au rendez vous. Gare aux plaques de verglas le matin!
La ville du Pas-de-la-case est morte à partir de 20h (fermeture des magasins). Les seuls lieux de sorties sont accaparés par les British ( Vous vous en lasserez vite...) qui se choutent au Jager-Bomb ,descendant encore leur QI un peu plus ba...
Bref si vous cherchez une station pour faire du Dodo-ski-chopping, c'est fait pour vous.
Sinon passez votre chemin, au moins vous ne serez pas déçus.
Ha oui en parlant de chemin, dés qu'il neige oubliez l’Accès par la route coté français. Il faudra rajouter 5hrs de trajet pour passer coté espagnol.
Je vais faire l'avocat de la défense...
Je conteste formellement l'avis formulé sur le personnel. Pour les remontées mécaniques, il s'agit pour la plupart de conducteurs sud-américains (argentins, chiliens), qui travaillent les 2 hivers des 2 hémisphères : il s'agit donc de professionnels. Comme dans toutes les stations, il s'agit de conducteurs, donc soumis aux règles du transport des personnes. Affirmer qu'un conducteur ne serait pas à son poste de travail (ou ne serait pas vigilent sur celui-ci) relève du fantasme : si tel était le cas, le conducteur serait licencié sur le champ (faute lourde, comme si un conducteur de train quittait son poste la locomotive en marche...). Or, j'ai du mal à croire qu'un sud Américain prenne le risque de perdre ses 2 jobs (l'employeur hiver nord / hiver austral est le même) sur une telle faute.
Les plaques de verglas le matin... C'est bien méconnaître la montagne que de se plaindre d'un tel phénomène : journée douce + gel nocturne = verglas ou (plus généralement) neige croûtée le matin. C'est, à Grandvalira, la seule possibilité de trouver ce désagrément, sauf dans les zones non damées (certaines parties de certaines pistes noires par exemple) car tout le reste est entretenu la nuit.
Quant à l'après-ski, je pense que Wazdh a dû se faire piéger à l'anglaise : avec un alcool à un prix défiant toute concurrence (la bouteille de Jack Daniels 1L est à 9€ en épicerie...), rien d'étonnant. Le Pas, c'est environ 50 restaurants, 12 bars / pubs (ouverts jusqu'à 2 h), 5 boîtes de nuits (ouverts jusqu'à 4h) : trouvez-en des stations qui offrent autant de possibilités nocturnes ! Seul point où je rejoins Wazdh, c'est l'accès par la France (Ax - L'hospitalet - Foix ou Latour de Carol - Porté Puymorens). Car, avec tous ces soit-disant principes de précaution, les autorités françaises ont pris l'habitude de se faire dessus dès qu'un petit cumul de neige se forme. Il lui faut parfois plusieurs journées pour s'apercevoir qu'il faut soit déclencher une avalanche (ce qui prend 1h) pour résoudre tout risque, car sur le terrain, la DIRSO s'active jour et nuit et permet de disposer, à une telle altitude (1600 - 2100 m au Pas) un accès souvent remarquable de propreté.
Voilà, c'est dit !
1 commentaire
inscrit le 03/11/15
Je conteste formellement l'avis formulé sur le personnel. Pour les remontées mécaniques, il s'agit pour la plupart de conducteurs sud-américains (argentins, chiliens), qui travaillent les 2 hivers des 2 hémisphères : il s'agit donc de professionnels. Comme dans toutes les stations, il s'agit de conducteurs, donc soumis aux règles du transport des personnes. Affirmer qu'un conducteur ne serait pas à son poste de travail (ou ne serait pas vigilent sur celui-ci) relève du fantasme : si tel était le cas, le conducteur serait licencié sur le champ (faute lourde, comme si un conducteur de train quittait son poste la locomotive en marche...). Or, j'ai du mal à croire qu'un sud Américain prenne le risque de perdre ses 2 jobs (l'employeur hiver nord / hiver austral est le même) sur une telle faute.
Les plaques de verglas le matin... C'est bien méconnaître la montagne que de se plaindre d'un tel phénomène : journée douce + gel nocturne = verglas ou (plus généralement) neige croûtée le matin. C'est, à Grandvalira, la seule possibilité de trouver ce désagrément, sauf dans les zones non damées (certaines parties de certaines pistes noires par exemple) car tout le reste est entretenu la nuit.
Quant à l'après-ski, je pense que Wazdh a dû se faire piéger à l'anglaise : avec un alcool à un prix défiant toute concurrence (la bouteille de Jack Daniels 1L est à 9€ en épicerie...), rien d'étonnant. Le Pas, c'est environ 50 restaurants, 12 bars / pubs (ouverts jusqu'à 2 h), 5 boîtes de nuits (ouverts jusqu'à 4h) : trouvez-en des stations qui offrent autant de possibilités nocturnes ! Seul point où je rejoins Wazdh, c'est l'accès par la France (Ax - L'hospitalet - Foix ou Latour de Carol - Porté Puymorens). Car, avec tous ces soit-disant principes de précaution, les autorités françaises ont pris l'habitude de se faire dessus dès qu'un petit cumul de neige se forme. Il lui faut parfois plusieurs journées pour s'apercevoir qu'il faut soit déclencher une avalanche (ce qui prend 1h) pour résoudre tout risque, car sur le terrain, la DIRSO s'active jour et nuit et permet de disposer, à une telle altitude (1600 - 2100 m au Pas) un accès souvent remarquable de propreté.
Voilà, c'est dit !